1. Marie-Sophie


    Datte: 04/06/2025, Catégories: fh, fffh, Collègues / Travail voyage, Oral pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... tous deux la cannelle, ce doit être une même ligne de produits cosmétiques. Mon dentifrice à moi sent la menthe, comme la plupart de ceux qu’on trouve au supermarché. Se relevant de son baiser, elle descend lentement le long de mon torse, posant des bisous et des petits coups de langue sur mes tétons, mon nombril, puis enfin tout le long de mon pénis congestionné, du gland aux testicules. Elle s’en saisit et l’enfourne dans sa bouche pour une délicate succion silencieuse, loin des aspirations bruyantes et humides de mes deux Japonaises. Quand elle semble satisfaite de sa rigidité, elle remonte vers moi, soulève son bassin et présente le phallus à l’entrée de son intimité. Lentement, progressivement, elle se redresse et s’empale jusqu’à ce que ses petites fesses rondes pressent délicatement mes génitoires contre mes cuisses.
    
    Le drap, qui l’avait accompagnée comme une prêtresse sensuelle, retombe d’un coup, offrant à la lumière ce buste svelte et cambré. La tête rejetée en arrière, ses mains remontent en coupe vers ses seins qu’elle caresse tendrement, faisant rouler ses pointes entre pouce et index. Elle m’offre un spectacle en contre-plongée d’un érotisme torride. Son bassin commence à osciller d’avant en arrière, torturant délicieusement mon sexe prisonnier de son étroit fourreau. Cette « mise en bouche » dure plusieurs minutes, le temps que son vagin se distende et adopte ce nouvel intrus. Alors elle tombe en avant sur ses bras tendus et commence à se soulever puis à ...
    ... retomber en regardant entre ses seins pour contrôler le mouvement. Sa chevelure caresse mon torse et chatouille par instants ma bouche et mes narines. Son va-et-vient s’amplifie et s’accélère jusqu’à ce qu’elle s’abandonne sur ma poitrine, le moment où je dois entrer en action. Je saisis ses fesses à deux mains, distendant ainsi ses orifices, et commence à la pilonner à petits coups de reins. Elle ronronne contre mon oreille. Je m’enhardis et ose mouiller de salive un majeur qui va lui titiller la rosette et s’y introduire d’une phalange. Par ce crochet improvisé, je l’oblige à soulever son bassin et à le lancer à la rencontre du mien. Ils se heurtent avec violence dans un bruit de fessée.
    
    Elle se redresse, se cambre puis fait le dos rond, maîtrise une première secousse puis se tétanise en d’interminables soubresauts. Quand elle semble avoir repris ses esprits, je nous fais rouler jusque sur son dos et entame un lent mouvement d’avant en arrière ponctué de bisous et suçotements de ses tétons. Pire, je gobe près de la moitié de chaque sein dans ma bouche grande ouverte. Étonnant des seins aussi durs. Mais s’il y a de la chirurgie là-dessous, c’est du travail d’artiste. Pas la moindre cicatrice n’est perceptible, ni dessous, ni autour des aréoles. Et si c’est naturel, chapeau, le matériel n’est pas usé. Ses yeux bleu-vert semblent m’inviter à un nouveau baiser, je m’y livre. Elle en profite pour m’enlacer de ses deux bras et de ses deux jambes, poussant mes fesses de ses talons ...
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