P'tit déj au balcon
Datte: 01/06/2025,
Catégories:
f,
fh,
cadeau,
fsoumise,
noculotte,
ffontaine,
Oral
délire,
Humour
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... depuis des années. Des années dédiées à ma femme et sans l’ombre d’un mâle. Chloé doit jubiler ! Et moi, je n’ai pas pu résister à cette opportunité offerte par ma chérie.
— Oh… Oh… Oh… Oui ! Oui… Baise-moi Ric… Aaah… Oui ! Plus fort… Aaah…
Mon pubis glabre brille de sueur et de cyprine. Ma fente est engluée de mouille grasse. Une viennoiserie prête à passer au four.
Mon esprit enfiévré quitte le charmant temps des semailles. J’oublie pains, baguettes et pâtisseries, traditions bien françaises, pour imaginer une autre coutume. Celle-là ibérique et bien moins sympathique. Car il est vrai que ce type qui me baise, là, m’excite tout autant que les capes de ces imbéciles de matadors agacent les malheureux taureaux espagnols.
— M’mm… Tu aimes ça, hein…
— Oui… Oui… Baise-moi… Baise… Oh… Ooh…
— Ta petite chatte est trempée… Tu dégoulines, Juliette !
À peine le membre dur en moi, je devais combattre un orgasme naissant. Maintenant, les doigts forts de Richard étirent les pointes de mes seins en douceur, tandis qu’il me prend avec force. Un contraste qui m’excite énormément. Depuis que Ric m’a pénétrée, je me sens couler sur sa queue. Je ne vais plus pouvoir tenir très longtemps.
— Oh Ric… Ooh… Baise-moi plus fort…
Quand les étreintes des étaux de chair sur mes seins se font plus pressantes, je ne peux plus lutter.
— Aah… Aah…
— M’mm… Tu prends ton pied… Tu m’excites trop Juliette !
— Oui… Oui ! Baise-moi fort…
— Allez, Juliette ! Jouis !
— Je jouis… je ...
... jouis…
Pantelante, je me laisse aller comme du blé coupé sous la faux. Le corps inerte sur la tablée de teck, les chevilles sur les épaules en sueur de Ric, je reprends doucement mon souffle, les pensées en désordre.
Je songe à Chloé qui a été si claire, et qui m’a offert le plus surprenant petit déjeuner de ma vie. Un petit déjeuner, que peut-être, nous pourrions partager à deux une autre fois. Si j’ose le proposer à ma femme. Oh, elle accepterait cette petite coquine. Mais moi, je ne suis sûre de rien. Voir Chloé avec un homme m’exciterait énormément. Mais me faire baiser sous les yeux de Chloé ne serait peut-être pas une bonne idée. Ne serait-elle pas tentée de faire des comparaisons ? Ne serait-elle pas jalouse ?
J’ai l’impression d’être subitement assaillie par les bruits de la rue, qui n’ont certainement jamais cessé. Essentiellement des véhicules qui passent et se croisent, pas très loin de chez moi. Il y a des voix également. Des types qui, je crois, s’affrontent dans un duel de pétanque acharné dans le parc. Presque sous mes fenêtres. Les chocs métalliques des boules quand les joueurs se taisent.
Une bouffée de chaleur me chauffe le visage à l’idée que quelqu’un aurait pu m’entendre gémir et crier doucement. J’ai réellement perdu pied sur cette fichue terrasse. J’ai eu beaucoup de chance de m’en tirer à si bon compte. Par moments, je sais que j’ai parlé à haute voix. Pas très longtemps, je crois, mais assez pour que l’on puisse m’entendre. Et Richard, lui, ...