P'tit déj au balcon
Datte: 01/06/2025,
Catégories:
f,
fh,
cadeau,
fsoumise,
noculotte,
ffontaine,
Oral
délire,
Humour
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... croule une nouvelle fois sous une chape de honte subite. Le livreur jaune me prend l’anus de ces doigts impatients. Deux doigts qui investissent mon petit orifice sans la moindre douceur.
— M’maïe… M’mm…
Les envahisseurs vont et viennent un peu trop brutalement pour que ce soit agréable, et ma main s’envole à la rescousse de mon excitation en perdition. La pulpe de mon majeur flatte très vite mon clitoris et il n’en faut pas plus pour que mon désir renaisse.
Cuisses ouvertes en grand, je dégouline de sueur. Ma main droite branle doucement le gourdin dur comme du bois, tandis que l’autre cajole ma chatte trempée. Mon étonnant livreur me regarde masser son sexe en se débarrassant de sa tenue ridicule, et je lâche prise pour laisser Ric enlever ses pantalons jaunes et se déchausser. Pectoraux puissants et tablette de chocolat. Du chocolat en plaquette qui se marie très bien avec le bel éclair que je viens de sucer.
— Tu sais Juliette… J’adore ta chatte toute douce. Toute lisse…
Quel drôle de pâtissier que ce Richard. En voilà un qui déguste les viennoiseries alors qu’elles ne sont pas cuites. Pâte encore fraîche, pas même levée et surtout, texture mouillée et dégoulinante.
— Ooh… Oh oui… Oui…
En fait, Ric ne me déguste pas. Il me bouffe vivante. Il se goinfre de mon sexe. Et il me faut bien l’avouer, je me suis trompée. Cet artisan connaît parfaitement son affaire. Il s’occupera de la pâte plus tard. Là, il travaille le fruit qu’il associera à sa tarte. ...
... Il pèle, essuie, râpe et goûte sa préparation après chaque étape. Je coule et gicle doucement sous une langue acérée ou tendre. Je m’affole des dents mordant délicatement ma pulpe.
— Ooh… Ric…
La cerise sur le gâteau. Richard lèche ma tendre pastille, un pouce sur mon clitoris.
— Je… Je vais…
Le petit pic planté sur une bûche de Noël. Un doigt me défonce délicieusement l’anus quand la bouche de mon visiteur inconnu assèche ma fente détrempée de jus.
— Aaah… Je… Je viens !
Entièrement nue, le dos collé au bois de teck de la table, je regarde mes pieds. Mes petons posés sur les larges épaules de mon laboureur. Mes charmants quarante et un fillette, qui dansent doucement dans l’air, sous les mouvements puissants de Richard. On croirait presque que je bats la mesure pour accompagner mon plaisir.
Car maintenant, mon livreur me laboure. Il me charrue avec une ardeur digne de la paysannerie d’antan. Ce qui somme toute est tout à fait normal. L’histoire commence toujours ainsi. C’est le temps des semailles. On laboure, on sème, on récolte, et ensuite seulement on s’affaire à s’occuper des grains.
Peut-être que la prestation très spéciale de mon livreur aurait dû commencer de cette manière. Ou alors, en artisan consciencieux, le bon Richard avait préféré que mes lèvres affutent son soc avant qu’il ne me pénètre.
Ma chatte a avalé le gland de mon livreur comme une vipère goberait un œuf d’oiseau. Ensuite, je me suis sentie chahutée, comme je ne l’étais plus ...