1. Savoir suivre les règles


    Datte: 29/05/2025, Catégories: fff, jeunes, piscine, sauna, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... qu’elle était penchée sur le bras de la matrone qui lui demandait de bien vouloir s’écarter une fesse pendant qu’elle lui toilettait le petit œillet. Charlotte était trop bouleversée par le contact des gros seins sur sa peau et par la dextérité de la main dans son sillon pour réaliser qu’elle m’offrait ce secret en gros plan : un cratère très proéminent et boursouflé. J’en ai connu la cause plus tard, quand nous étions au sauna – pour faire simple – et qu’elle m’a avoué avoir eu des hémorroïdes. La pauvrechoute, c’est rare mais ça arrive… Je dois attirer les confidences, moi ! Ou bien, c’est de l’accumulation des émotions et des troubles sexuels ressentis dont elle s’est libérée en me révélant ce détail trivial, comme une soupape pour soulager ses tensions. Cela nous arrive à toutes, n’est-ce pas ?
    
    Et puis, vous voulez que je vous dise ? Sur sa lancée, elle m’a confessé en bafouillant et en le regrettant qu’elle avait regardé mon derrière, qu’elle en était désolée, mais qu’elle n’avait pas pu s’en empêcher, etc. Tu parles si je me doutais qu’elle avait lorgné mon cul et mon trou ! Rien qu’à la façon dont elle avait scruté ma foune, c’était évident.
    
    Bref, une fois bien nettes et bien proprettes au gré des matrones, nous avons été invitées à passer au bain. Nous avons retraversé la salle commune deux par deux, quatre « visages pâles » toutes nues sous les regards vifs des brunes du lieu au teint mat. Des habituées, qui ne l’étaient pas de voir des nénettes comme nous ...
    ... fréquenter leur hammam. Eh bien, question discrétion, ces dames en remontreraient à beaucoup : ni la matrone qui avait observé de près les particularités de Charlotte, ni les autres, n’ont souri ou fait la moindre remarque étonnée, moqueuse, critique… rien ! Que des mines impassibles sinon des sourires aimables. Exactement les mêmes attitudes naturelles que sur notre plage naturiste.
    
    C’était plutôt nous qui étions un peu crispées de défiler comme ça, surtout Charlotte qui venait de comprendre que sa fifille et Sandra s’étaient échangées des soins identiques à ceux dont nous venions d’être gratifiées. Elles étaient mignonnes, Agnès et ma fille, se tenant par la main en trottinant devant leurs mères, leurs jolies fesses dansant pour le plaisir des yeux. En chemin, nos mains se sont touchées et Charlotte a saisi la mienne. Je ne l’ai pas retirée, bien sûr, au contraire je l’ai serrée, sans la lâcher jusqu’à ce que nous arrivions au bord de la piscine. Là, oui, il y a eu quelques demi sourires entendus autour de nous. Certaines femmes aussi se tenaient par la main, dans la salle ou dans l’eau, mais je suppose que ce geste a une signification précise pour les autres.
    
    L’eau était tiède, légèrement parfumée, m’a-t-il semblé, en tout cas délassante, malgré le nombre de baigneuses qui s’y ébattaient. Dans ces circonstances, on a beau se faire toute petite, on ne peut éviter d’être frôlées, voire bousculées, par la nudité d’une voisine qui sort ou qui entre. Du coup, Charlotte et moi ...
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