1. Savoir suivre les règles


    Datte: 29/05/2025, Catégories: fff, jeunes, piscine, sauna, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    Bisous, mes amours.
    
    Je vous ai déjà parlé, je crois, de la copine que Sandra a retrouvée à la Fac, Agnès, et de la mère de celle-ci. Charlotte, c’est son prénom, dont j’avais fait la connaissance à l’époque du lycée, est devenue une amie qui se confie quelques fois sur ses problèmes conjugaux. Comme nos filles aiment bien se divertir ensemble, nous avons pris l’habitude de nous inviter pour un thé ou simplement pour bavarder. Papoter, si vous préférez ! Sauf que, de bavardages en papotages, nous nous sommes peu à peu découvertes et rapprochées plus intimement.
    
    Oh, ne soyez pas jalouses, mes chéries : Charlotte est une grande pudique qui s’est quasiment affolée quand je lui ai dit que j’adorais être nue à la plage, de préférence en compagnie d’amies proches ! Je n’allais pas en rajouter en lui racontant nos ébats, hein ? La pauvre, elle est affligée d’un macho de mari, très imbu de ses connaissances, limitées, et surtout grand passionné de football. Le bon côté du personnage, c’est que les retransmissions de matchs ou ceux de son équipe favorite au stade local laissent souvent sa femme libre d’occuper son temps à sa guise. Depuis peu, en général c’est avec moi…
    
    Du coup, le monsieur s’est montré soupçonneux. Pour pallier ses doutes, j’ai accepté une invitation à dîner chez eux avec un bellâtre et feins de résister pied à pied à sa drague lourdingue avant d’y succomber. Oui, mes amours, j’ai couché ! Heureusement, il y a toujours l’Angleterre pour distraire nos ...
    ... pensées au moment idoine… Et ma réputation est faite : une hétéro, pas facile à amadouer, et pas terrible au lit. De quoi rassurer le mari de Charlotte qui ne craint plus que ma fréquentation assidue la pervertisse.
    
    Nous en profitons à la moindre occasion, en tout bien tout honneur – jusqu’à présent – et en toute confiance. Je lui ai fait comprendre mon peu d’intérêt pour les attributs de la gent masculine. Elle m’a avoué son désespoir d’être affectée d’une particularité physique intime qui la tourmentait au point qu’elle envisageait une clitoridectomie. Une folie dont je l’ai bien sûr vivement dissuadée. Nous ne sommes plus au Dix-Neuvième Siècle, tout de même ! N’empêche, à cause de ce complexe, non seulement la nudité l’effrayait, mais encore la seule idée d’une épilation du maillot la perturbait, m’a-t-elle confessé.
    
    Vous me connaissez, mes chéries, je n’ai écouté que mon bon cœur pour lui proposer de l’accompagner chez une esthéticienne, voire mieux : dans un hammam qui lui garantirait de ne pas croiser une quelconque voisine ou pipelette de son monde. J’ai usé beaucoup de salive et montré beaucoup de patience pour vaincre ses hésitations. Elle vient enfin de se décider et nous avons réservé hier un rendez-vous dans un établissement des vieux quartiers de la ville d’à côté. L’ennui, enfin pour elle, c’est que les filles en ont eu vent et qu’elles ont réclamé à cors et à cris de venir avec nous. Je n’ai pas eu le courage de les décevoir, et Charlotte n’a pas osé ...
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