1. Savoir suivre les règles


    Datte: 29/05/2025, Catégories: fff, jeunes, piscine, sauna, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... étions souvent amenées à nous coller l’une à l’autre pendant que nos filles faisaient les gamines près de nous, et contre nous… L’occasion de rires, d’abord gênés quand nos seins se touchaient, puis plus francs à force de répétitions de ces contacts involontaires. Je m’excusais, au début, que nos poitrines s’écrasent plus que de raison l’une sur l’autre, lui confiant que j’en étais émue sans envie de la choquer. Ma sincérité l’a incitée à me faire la confidence qu’elle aussi était troublée de ces attouchements contraints comme de se savoir observée, surtout par Sandra et Agnès, et qu’elle était surprise de trouver agréable la vue d’autres corps de femmes. Je lui ai fait remarquer à mi-voix que ses tétons montraient comme les miens que c’était un peu plus qu’un plaisir innocent. Elle a souri en rougissant, mais ne l’a pas nié.
    
    Nous n’avons pas pu approfondir le sujet sur le moment, car notre matrone attitrée, sourire aux lèvres et blouse flottant de part et d’autre de ses lolos majestueux, est venue nous chercher. Elle s’est accroupie, sans façon ni souci de sa chatte lisse baillant devant notre nez, pour nous dire qu’il était temps de passer à la sudation. Elle m’a tendu la main et en se redressant m’a sortie de l’eau comme une plume. Je l’ai aidée pour Charlotte qui fait son petit poids, et elle nous a laissées nous débrouiller pour nos filles. D’accord, avec moi, pas de problème, Agnès et Sandra n’en ont jamais perdu la vue. Mais Charlotte a dû affronter l’exposition, à ...
    ... leurs yeux et à ceux des baigneuses, de sa belle foune dont les poils mouillés et l’eau ruisselante masquaient opportunément les émois, avant que nous suivions notre guide au sauna.
    
    Je dis sauna quoique ce n’en soit pas vraiment un. C’est une pièce relativement petite et surchauffée, sans porte qui l’isole des va et vient des alentours. Pas plus d’intimité ici qu’ailleurs. On s’y installe, et parfois s’y entasse parait-t-il, à sa guise sur les banquettes de pierre le long des murs ou sur les dalles du sol. Tout est chaud, limite brûlant. Le carré d’éponge qu’on te donne ne sert pas à cacher ta chatte mais à protéger tes fesses. Au centre, une petite table couronnée d’une énorme théière et entourée de minuscules tasses accrochées au cercle du rebord. On nous a fortement incitées à boire souvent du thé chaud pour nous acclimater et nous réhydrater.
    
    Il y avait déjà trois ou quatre femmes allongées qui nous ont gentiment saluées quand nous sommes entrées. Elles se sont poussées afin de nous faire place, et l’une, une jolie noire d’une trentaine d’années, s’est étendue par terre. Pour une fois, les filles se sont séparées, Agnès dans un coin, Charlotte et moi au milieu, et ma fille à côté de moi. Une femme assez mûre, brune de peau et poitrine avachie, lui a proposé de s’appuyer contre ses genoux en lui offrant la serviette dont elle n’avait plus nécessité pour étendre la protection à ses reins. Sandra s’est donc calée à l’aise, les pieds sur mes cuisses.
    
    Objectivement, ...
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