1. Savoir suivre les règles


    Datte: 29/05/2025, Catégories: fff, jeunes, piscine, sauna, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... l’encan : un petit calvaire au début pour ma Charlotte qui, sur la fin, l’a très bien supporté.
    
    Je savais, il est vrai, que cette épreuve – douce ou blessante, c’est selon – nous serait imposée. On m’avait informée en prenant rendez-vous que, venant pour la première fois, nous devrions nous y plier. Les habituées peuvent se laver elles-mêmes, seules ou à deux. Les matrones jettent seulement un œil, manière de contrôler si tout se passe bien ou si l’on souhaite faire appel à leur service. Pour nos puces, par exemple, bien que pas plus connues que nous, c’est une jeune employée qui les a surveillées et conseillées sur les endroits à vérifier. J’avais préféré ne pas avertir Charlotte, de peur qu’elle se dédise au dernier moment.
    
    Pour elle et moi, peut-être par respect ou délicatesse, c’est une préposée plus ancienne qui nous a été affectée. Elle doit avoir près de soixante ans, teinte au henné, bien ronde, bien lisse, encore jolie de visage, une poitrine tombante mais bien remplie. Radieuse, débonnaire et souriante, une vraie figure maternelle pour prendre en main les nouvelles clientes sans les affoler. Ni bienséance superflue ni fausse pudeur, par contre, quand elle a confisqué les serviettes que nous tenions et s’est défait de sa blouse pour nous savonner. Nous étions nues, elle aussi, et alors ? Ici, c’est comme ça, et c’est tout !
    
    Comme je vous l’ai dit, je suis passée à la casserole – enfin, ma grand-mère disait cela à propos d’autre chose ! – la première et j’ai ...
    ... bien apprécié ces préliminaires. Un peu émue, je le reconnais, de me laisser tripoter dans tous les trous devant Charlotte et avec nos filles dans le demi box voisin qui ne se privaient pas d’espincher. Elles ont continué leur manège lorsqu’est venu le tour de la mère d’Agnès, qui, heureusement, ne s’en est pas aperçue, trop préoccupée par ses propres sensations. Pour le savonnage des épaules et du dos, tout allait bien. Pour le buste, les seins et le ventre, c’était déjà moins facile pour elle. Voir notre matrone se pencher puis s’accroupir pour lui laver les jambes et les pieds l’a un peu plus déstabilisée. Après, le savonnage est passé aux cuisses et entre elles avec les conséquences que vous savez déjà.
    
    Charlotte n’a pas à avoir honte de son corps, cependant. Je la trouve belle femme : plus grande et cheveux plus foncés que moi, les yeux marron verts, bien faite, bien en chair, je dirais même bien bâtie, la poitrine plus avantageuse que la mienne – et pour ma confusion, plus tonique –, la taille marquée sur des hanches larges, de belles fesses fermes et de longues jambes musclées. En somme, ses formes intimes ne détonnent pas en regard de l’ensemble de sa morphologie. Si je devais lui trouver un vrai défaut apparent, ce serait au niveau des pieds, un peu grands et épais. Mais il faut bien qu’elle assure son équilibre ! Un autre est plus caché, si défaut il y a et qu’il soit difficile de le lui reprocher.
    
    Je l’ai découvert en contemplant son large fondement pendant ...
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