Le popotin de Pauline - Histoires de Sexe

Le popotin de Pauline

... salope ! Ah que c’est bon de bon !
— Continue comme ça ! Encore ! Encore !

La cavalcade continue de longs instants. Le cul labouré, la chatte exacerbée, Pauline perd pied petit à petit. Au-dessus d’elle, le jeune sorcier lutte pour conserver un semblant de contrôle durant ce long pistonnage infernal. Que c’est dur de résister, c’est trop bon ! C’est le meilleur cul de ma vie ! songe-t-il à la limite de la conscience.

Soudain un long hululement fend l’air :

— Aaah oui ! Oui ! Oui ! Ouiii ! Ouiii ! Oh ouiii !

Pauline jouit visiblement comme une petite folle, le cul embrasé par un homme avide et déchaîné. N’y tenant plus, le garçon se laisse aller lui aussi, inondant les entrailles obscures offertes :

— Aaah oui ! Prends ça, et ça, et encore ça ! Aaah, j’veux te remplir à fond ! J’veux que tu débordes ! Aaah !
— Ah oui ! Remplis-moi, encore ! Encore ! Aaah !

Puis après vient le moment où on ne s’appartient plus, où on flotte ailleurs, au loin…

Très loin…

Épuisé, l’esprit un peu en déroute, Paul-Henry songe à une femme idéale ayant les beaux gros seins tout doux de Méline, l’habilité buccale et la silhouette d’Amélie, ainsi que le cul terriblement efficace de Pauline ! C’est peut-être trop demander…

Pour l’instant, il convient de remettre un pied sur terre, même s’il se sent si bien enfoui dans les sombres profondeurs de Pauline ! Il adore sentir sa verge emprisonnée dans le rectum de cette si belle garce !

Mais hélas, tout à une fin, il faut se ...

... détacher d’un si beau cul accueillant et revenir aux contingences matérielles. Les deux jeunes gens s’essuient, puis se rhabillent. Dandinant du popotin, Pauline s’approche de son éphémère compagnon de vie dissolue et lui assène tranquillement en réajustant ses mèches :

— Eh bien, mon petit Panpan ! C’est-y pas bien de faire l’amour à la sauvage ?
— Je dois reconnaître que… qu’avec toi, ça prend des proportions dantesques ! Je m’en souviendrai toute ma vie !
— J’en suis fort aise ! Eh bien, mon cher Panpan, si tu veux recommencer, c’est quand tu veux, où tu veux. Sauf si Coraline n’est pas d’accord, bien sûr !

Paul-Henry rougit légèrement :

— Pourquoi me parles-tu maintenant de Coraline ?
— Oh, comme ça pour rien !

Elle l’embrasse aussitôt sur le bout du nez, puis quitte la pièce en riant, laissant derrière elle un jeune homme plutôt perplexe.

Très guillerette, Pauline se dirige vers sa chambre, toujours remplie du sperme de son chirurgien-magicien. Chemin faisant, elle songe alors :

C’est vrai que l’effet est différent, je sens à la fois la bite entre mes fesses et en moi, c’est quasiment double sensation… Ce Panpan n’a pas usurpé son surnom, il a un bon bâton de berger et sait s’en servir !

Quelques pas plus loin, elle arrive devant un grand miroir aux contours sculptés. Elle s’arrête pour admirer son reflet de profil puis d’arrière :

Et puis, ça me donne une meilleure silhouette ! Je sens que je vais faire des ravages ! D’ailleurs, Méline ne se ...