Le popotin de Pauline - Histoires de Sexe

Le popotin de Pauline

... point partout !
— Au lieu de parler de tennis, utilise ton pénis !

Sans attendre, Paul-Henry pointe le bout de son gland bien dans l’axe de la cuvette, puis il s’enfonce dans les obscures profondeurs d’une longueur d’environ deux pouces. Se sentant envahie, Pauline s’exclame spontanément :

— Ah enfin ! Ça fait du bien !
— À moi aussi ! On rentre comme dans du beurre !
— Je te l’avais dit que ça rentrerait tout seul !
— Effectivement… Voyons ça…

Lentement, mais fermement, Panpan fait coulisser une bonne partie de sa verge dans le trou offert. Il s’extasie :

— Oui, c’est parfaitement vrai ! Ça rentre tout seul, et c’est serré juste à point !
— Merci du compliment, bel enculeur !
— Puisque j’ai droit aux mots lestes, permets-moi de te dire que tu es une splendide enculée de première catégorie !
— Tu appelles ça des mots lestes ? C’est mignon, plutôt !

Paul-Henry enfonce d’un seul coup la totalité de son mandrin, son bas-ventre cognant sur les fesses rebondies de Pauline qui ironise à sa façon :

— Là, c’est mieux, mon petit Panpan !
— Tu me cherches, toi !
— Tu crois ça ?

À sa grande surprise, quelque chose est en train de masser la verge captive dans le rectum bien chaud. Paul-Henry demande :

— Ce… c’est toi qui me fais ça ?
— Qui d’autre, niquedouille ? Je sais faire varier mon petit trou, et je sais aussi faire bien d’autres choses !
— Waow ! Tu fais ça bien !

Pauline ne répond rien, elle se contente de sourire vicieusement. Durant ...

... quelques longs instants, Paul-Henry se laisse masser, bien planté à l’intérieur du corps de Pauline. Cette sensation est franchement extra, comme s’il était choyé par une bouche, mais autrement. C’est difficile à expliquer sur le moment. Il soupire d’aise :

— C’est drôlement bon ! T’es franchement douée dans ta catégorie !
— Et si tu t’occupais de moi, Panpan ?
— Comment ?
— C’est toi qui es en train de m’enculer et tu ne sais pas la suite à donner ?
— Tu me cherches vraiment, gourgandine !

Sa tête tournée vers celle du jeune homme, ses yeux dans les siens, remuant ostensiblement du popotin, Pauline rétorque effrontément :

— Tu crois ça, gros salopard ?
— Tu l’auras voulu, petite dévergondée !
— Pff, que des mots !

L’instant d’après, le jeune homme se lance dans une chevauchée fantastique, pistonnant telle une locomotive emballée le sombre couloir de la sorcière sous lui, à sa merci. Pauline semble beaucoup apprécier cette manière forte de l’explorer, puisqu’elle l’encourage avec ferveur :

— Oui ! Vas-y ! Défonce-moi !
— Je vais te le baptiser à fond, ton nouveau cul de petite ribaude !

Panpan entre et sort sur toute sa longueur, son ventre claquant sur les fesses potelées, un bruit incongru qui ajoute à l’excitation du moment. Durant ce temps, Pauline se masturbe furieusement, ses ongles égratignant parfois les testicules ballottants qui passent juste à côté de ses doigts.

Paul-Henry rugit, Pauline gémit.

— Ah que c’est bon d’être dans ton cul, petite ...