Le popotin de Pauline - Histoires de Sexe

Le popotin de Pauline

... que mon cul t’excite, ou c’est le fait que je t’ai dit que je me faisais enculer ?
— Euh… les deux à la fois…
— Et tu m’as l’air d’en avoir dans la culotte ! Tu t’es opéré toi-même ?
— Disons que je me suis ajouté un peu de longueur et de grosseur, mais pas trop. J’ai vite compris que les femmes n’aiment pas quand il y en a trop.
— Tu as tout compris ! Tu me fais voir ?

Assez abasourdi par la tournure de la conversation, Paul-Henry s’étonne :

— Je te fais voir ?
— Oui, tu me fais voir ta bite, ta queue, ton mandrin, ton zob…
— Tu n’y vas pas par quatre chemins, toi !

La jeune sorcière affiche un sourire dévergondé :

— Je vais être franche : j’ai envie de tester mon nouveau cul, et comme t’es pas mal du tout de ta personne, autant joindre l’utile à l’agréable.
— Vu comme ça… Merci de me trouver pas mal du tout.
— Tu sais très bien que t’es beau gosse.
— Je sais que je ne suis pas Quasimodo.

Fixant toujours le garçon, Pauline écarte à nouveau ses fesses, dévoilant une petite cuvette très élastique qui s’ouvre déjà sans effort, le tout sous l’œil fasciné du jeune homme qui contemple béatement la scène.

Son petit trou étant devenu nettement ouvert et fort engageant, Amélie s’adresse vicieusement à Paul-Henry plongé en pleine contemplation lunaire :

— Allez, Panpan ! Sors ton engin et viens m’enculer !

Ce qui fige plus encore Paul-Henry. Il lui faut quelques secondes pour répondre :

— Tu… tu es sûre ?
— Si je te le dis !
— Euh… quand tu ...

... parlais de tester ton nouveau cul, tu parlais vraiment de… de sodomie ?
— De quoi croyais-tu que je causais, niquedouille à boules ?

Paul-Henry explique ce qu’il avait compris :

— Ben… de la plasticité de ton petit trou, le fait de l’ouvrir et de le fermer à volonté…
— Mais non, gros bêta ! Je parlais de ton bâton de berger ! T’es peut-être un bon sorcier, mais tu ne sais pas lire entre les lignes. Pourtant, c’était gros comme un éléphant, non ?
— Excuse-moi, mais j’étais un peu dans la lune, c’est le cas de le dire.
— Alors, tu attends quoi ? Le dégel ?
— C’est avec joie que j’accepte ta proposition !

Pauline affiche un petit sourire très coquin :

— J’espère bien ! ! Au fait, ne t’étonne pas, j’aime les gros mots ! Dans les deux sens…
— C’est bon à savoir…

En un rien de temps, verge bien raide, Panpan (le bien nommé) grimpe sur la table, s’installant à califourchon de part et d’autre des blanches cuisses de Pauline, qui ne le quitte toujours pas du regard. Tandis qu’il se positionne au mieux, il murmure :

— Dommage que je ne connaisse pas le sort du miel…
— Oh toi, tu fais allusion à la petite manie d’Amélie !
— Oh pardon ! J’ai pensé tout haut !
— Pas de panique, mon Panpan ! Ne t’inquiète pas pour le lubrifiant, mon cul en est pourvu !
— Comment ça ?
— N’oublie pas que je suis une sorcière…

Le jeune homme se moque un peu :

— Ah bon ? Ça existe les sorts de trou du cul ?
— Bah, y a bien des gugusses qui font dans les sorts anatomiques !
— Un ...