Le popotin de Pauline - Histoires de Sexe

Le popotin de Pauline

... aux lèvres, Pauline s’inquiète faussement :

— Ah oui, c’est vrai. T’es pas vexé, j’espère ?
— Je te rassure, il m’en faut plus que ça. Je suppose que tu as besoin de mes services.
— Exactement !

Sans complexe, elle pivote sur elle-même, tapotant sur ses fesses, les mettant bien en évidence sous le nez du garçon :

— C’est mon séant qui a besoin de tes services, je le voudrais plus rebondi.
— J’avais cru deviner… Que ton postérieur ?

Paul-Henry note quelque chose sur son carnet. Intriguée, sa voisine demande :

— Pourquoi, y a autre chose à modifier ?
— Non, le reste de ton anatomie est parfait.
— Merci, merci !

Se retournant, Pauline change de sujet :

— En tout cas, depuis ton intervention, Méline ne se sent plus !
— C’est-à-dire ?
— Qu’elle a déjà expérimenté sur divers garçons ses nouveaux appas.
— Grand bien lui fasse !

Avec un air entendu, Pauline se penche vers le jeune homme :

— Et toi aussi, tu les as expérimentés plus d’une fois…
— La galanterie et ma modestie naturelles m’empêchent de te répondre…

La jeune sorcière se moque gentiment :

— Tu n’as pas honte de dévoyer de la sorte des pures jeunes filles ?
— Bien qu’il n’y ait aucun corset dans cette école, sauf peut-être chez certaines instructrices, j’aimerais que les mœurs victoriennes deviennent plus souples…
— Ah oui, ces fichus corsets ! Vaste programme !

Puis ils conviennent de l’heure et de la date de l’intervention. Pauline part au prochain cours toute guillerette, ...

... satisfaite à la fois d’avoir pris rendez-vous et aussi d’avoir constatéde visu que Paul-Henry, même de près, n’est pas une mocheté.

À l’heure dite, les deux jeunes gens se retrouvent dans la même chambre que Paul-Henry sécurise aussitôt en lançant un sort qui rend inexistant l’endroit où ils sont. Soulevant sans complexe son long vêtement noir, Pauline s’allonge sur la table (recouverte d’une grosse couverture), fesses bien en évidence. Paul-Henry s’étonne :

— Tu… tu n’as pas mis de… euh… culotte ?
— Pour quoi faire ? Je suis venue directement ici pour que tu me modifies les fesses, et après, je repars dans ma chambre. De plus, je crains que mes culottes ne m’aillent plus après ton intervention !
— Oui, c’est vrai… Tu as décidément l’esprit pratique !

Pauline se met à rire :

— Houla, tu ne sais pas à quel point !
— Je vois ça…
— Bon, comme tu le devines, j’aimerais que ce soit plus bombé, mais pas au point que je sois complètement callipyge. Un beau petit cul à croquer, quoi.

Paul-Henry propose :

— Puis-je me permettre de laisser parler mon propre goût en la matière ?
— Vas-y, mais si ça ne me convient pas, tu pourras rectifier, j’espère !
— Bien sûr ! Détends-toi, je vais commencer, et ne t’étonne pas si ça tire un peu.
— Je suis prête !

Le garçon pose ses mains sur le popotin plutôt plat de Pauline, puis il les fait aller dans toutes les directions, caressant, pétrissant les chairs blanches. Après quelques tiraillements assez étranges, le jeune ...