1. Le popotin de Pauline


    Datte: 27/05/2025, Catégories: fh, jeunes, fsodo, sorcelleri, fantastiq, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... mains, et s’amuse à faire varier l’ouverture de son anus, un spectacle étrange qui intéresse fortement le jeune homme. Tout en jouant avec sa rondelle ourlée, elle revient un peu en arrière dans la conversation :
    
    — Au fait, en ce qui concerne le nombre de filles que tu as pu baiser, Monsieur joue les modestes ?
    — Je replace les choses à leur place, c’est tout. J’ai peloté beaucoup de filles, c’est vrai, mais pas fait l’amour à toutes, loin s’en faut.
    — Au moins à la moitié, je suppose.
    
    Paul-Henry se défend :
    
    — Même pas ! Dix pour cent me semble un maximum.
    — Eh, ça fait déjà un beau paquet, si on prend le fait que quasiment toutes les filles de l’école ont été retouchées par tes bons soins, et que tu entames ta troisième année.
    — Cinq pour cent alors… Honnêtement, je ne compte pas.
    — Tu ne comptes pas ou tu ne comptes plus ?
    — C’est vrai qu’au tout début, j’ai compté, puis j’ai arrêté.
    
    Pour appuyer ses dires, il donne une petite tape sur les fesses devenues arrondies. Surprise, relâchant ses fesses, Pauline proteste :
    
    — Aie !
    — En tout cas, ton fessier est réussi, ça vibre bien.
    — Oui, je sens ça…
    — Tu sens les vibrations ?
    
    Maintenant en appui sur ses coudes, Pauline confirme :
    
    — Oui, et cette sensation est nouvelle pour moi, mes fesses étaient tellement plates avant ! Ah tiens, ça me fait penser à un truc !
    — Ah oui ? Lequel ?
    
    La jeune fille ajoute à voix basse sur le ton de la confidence :
    
    — Ne va pas le répéter à tout le monde, mais il ...
    ... va falloir que je choisisse à présent des hommes bien membrés.
    — Ah bon ? Pourquoi ?
    — Ben, quand j’avais les fesses plates, même les petits zizis pouvaient m’enculer sans problème. Maintenant, avec mes fesses bien rondes, y aura un peu plus de distance à parcourir avant d’entrer !
    
    N’entendant pas de réponse, Pauline tourne son visage vers le jeune homme. Elle découvre alors que celui-ci est assez surpris par sa réponse plutôt leste. Elle s’en amuse :
    
    — Oh ! Ne me dis pas que j’ai réussi à te choquer !
    — Euh… disons que… que c’est… que c’est surprenant !
    — Écoute, mon grand : je suis toujours vierge par devant, mais il faut bien que je profite quand même des joies de la vie, tu ne crois pas ?
    
    Revenant lentement de sa surprise, Paul-Henry opine du chef :
    
    — Pas faux… Mais tu es bien la première fille à l’avouer si spontanément. On m’avait prévenu que tu étais très nature, mais pas à ce point !
    — Dois-je comprendre que je ne suis pas la première fille de ta connaissance à te dire qu’elle se fait entreprendre par le petit trou ?
    — Non, tu n’es pas la première et tu sais très bien pourquoi.
    
    Pauline opine du chef :
    
    — Oui, bien sûr… Ils sont si… archaïques dans nos campagnes et aussi dans nos villes, si j’ai bien compris. C’est complètement con, mais c’est comme ça…
    — Peut-être que dans quelques décennies, les mœurs seront plus libérées…
    
    Plissant légèrement des yeux, Pauline abaisse un peu son regard et dit d’une voix légèrement moqueuse :
    
    — On dirait ...
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