Jouissances et soumission
Datte: 26/05/2025,
Catégories:
fff,
douche,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
caresses,
Oral
fdanus,
fouetfesse,
orties,
lesbos,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... au fist. Elle me confie tous les plaisirs échangés entre elle et Anaïs au cours de la nuit. Mais cette tendre parenthèse se referme aussi abruptement qu’elle avait commencé.
— J’espère que tu accueilleras nos amies avec autant d’attention que pour moi.
Et voilà ! Je suis renvoyée derechef à mon état de soumise – volontaire – tandis qu’elle part s’occuper de ses petites affaires. À moi de trouver la bonne attitude pour assumer la fonction qui m’est dévolue. À moi, novice en la matière !
Novice… Maîtresse Colette l’a été. Elle m’a expliqué comment elle devait se tenir entre les étapes de son intronisation. Eh bien, adoptons la même pose : à genoux, les fesses sur les talons et les mains modestement posées sur les genoux. En somme, la position de départ de la figure dite de « prière arabe » telle qu’elle me l’a montrée. C’est ainsi que je vais attendre l’arrivée de mes compagnes. Ou plutôt : de mes autres Maîtresses.
Maîtresse Martine – oui, je dois me forcer à penser systématiquement en ces termes pour chacune afin d’éviter un impair coupable – Maîtresse Martine, donc, descend peu après et se dirige vers le coin réservé sans m’accorder un regard en passant. Très frustrant après nos complicités nocturnes et libertines, mais elle est dans son rôle, je suppose. Je ravale mon dépit sans bouger.
Lorsqu’elle revient, elle a deux tiges d’orties à la main. Elle tire un fauteuil en face de moi, l’air contrarié d’avoir à le faire, en me disant de me lever.
— Tends ...
... tes seins !
Je les lui présente, plus gênée de devoir les soutenir dans mes paumes que craintive de ce qui se prépare. La double flagellation qui enflamme mes mamelons me surprend malgré tout, et il me faut quelques secondes avant de murmurer « merci Maîtresse ». Encore ai-je eu la présence d’esprit de me souvenir de la formule consacrée ! La pauvre satisfaction que j’en tire me distrait un peu des picotements qui s’intensifient sur mes aréoles et mes tétons.
— Reprends ta place, m’ordonne Maîtresse Martine avant de se poser, genoux écartés, sur le bord du fauteuil.
Bien sûr ! L’évidence de ma faute me saute aux yeux autant que la chatte aux formes et couleurs de moule. Elle a un goût âcre et acide qui m’évoque l’iode et l’urée, mêlant vieille cyprine et pisse fraîche en une saveur plus excitante que désagréable. Je suis fière de la rendre propre et nette, n’exhalant plus qu’un léger parfum de lisière marine.
Ma tâche accomplie – sans un mot de remerciement, dois-je le préciser ? – je m’empresse de pourvoir au petit-déjeuner de ma Maîtresse. Voilà donc les attentions que je dois à chacune : nettoyer et servir. N’étaient les démangeaisons des pustules sur mes seins, j’envisagerais avec plaisir de réaliser, au moins en partie, le désir dont m’ont frustrée hier soir les tables trop basses du salon. En partie, hélas, car je doute qu’aucune ne m’autorise à le prolonger jusqu’au terme espéré…
Je me gratterais bien les bouts de seins, jusqu’au sang j’en ai peur, si un ...