1. Jouissances et soumission


    Datte: 26/05/2025, Catégories: fff, douche, fsoumise, fdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, Oral fdanus, fouetfesse, orties, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... grommelé quelque chose dans son rêve et j’ai déposé une bise légère sur son cou pour la calmer. Mais je n’ai pu m’empêcher d’aller humer les suaves parfums de son entrecuisse pour me donner le courage de partir. Un souvenir des heures passées de nos folies nocturnes…
    
    J’ai veillé aux menus préparatifs du petit-déjeuner après avoir été docilement vider ma vessie dans le carré d’orties réservé à cet usage. Malgré mes précautions, je n’ai pu éviter quelques inflammations de mes parties sensibles. Ce n’avait pourtant été que fugitives caresses des feuilles urticantes dont j’ai dû me soigner par le seul remède bien connu des grands-mères – très efficace, je vous l’assure – afin de remplir ma charge sans démangeaisons outrancières.
    
    J’ai mis en route le thé, le café et les toasts. J’ai sorti du frigo les jus de fruits, confitures et beurre. J’ai disposé sur la table de la terrasse assiettes, tasses et verres. Je rentrai pour rapporter le sucre quand Colette est arrivée. Dès que j’ai aperçu ses pieds sur les marches de l’escalier, j’ai aussitôt pris la pose d’humilité qui convient à mon état. Même entièrement nue comme moi, elle reste ma Maîtresse.
    
    Mon attitude lui est agréable. Elle m’en récompense d’un bref sourire et son regard s’attarde sur ma poitrine et mon pubis. Son visage a pris un air interrogateur dont je comprends tout de suite le sens. Ma chatte était lasse et douloureuse. Elle l’est encore, mais je commence à me masturber en caressant mes seins. Maîtresse ...
    ... Colette a la bonté de m’inviter à m’asseoir pour mieux voir mes doigts fouiller mon con et branler mon clito.
    
    La jouissance est longue à venir, et douloureuse, mais je suis heureuse de l’offrir à ma Maîtresse qui me regarde jusqu’au bout de l’orgasme en caressant distraitement son sexe. Elle ne cherche pas à jouir elle-même, se contentant de poser son pied sur la chaise. Je me mets à genoux devant ses nymphéas et je débarrasse sa vulve de tous les remugles de la nuit, tendrement, amoureusement. Je suis une soubrette dévouée.
    
    — Sers-moi un café et verse-t’en une tasse aussi. Tu prendras le petit-déjeuner avec moi, dit Maîtresse Colette en sortant.
    
    Les bols fument et les toasts sont beurrés quand elle revient du carré d’orties pour s’asseoir cuisses ouvertes. Un ordre implicite auquel j’obéis tout de suite, usant de ma langue pour nettoyer sa fente des reliquats de sa miction et les répartir sur les rares cloques résultant des contacts fugitifs de ses fesses avec les feuilles. Elle est bien plus adroite que moi, ou plus habituée, peut-être.
    
    — Venez à table, Chantal, me propose-t-elle. J’aime beaucoup le goût que vos doigts ont donné à mes tartines. Dommage que vous ne viviez pas avec moi !
    
    J’apprécie ce vouvoiement et le compliment amusé qui ouvrent une pause dans nos relations de soumise à dominante. Remises à égalité, nous devisons comme les amies amoureuses que nous sommes. Je lui confesse sans réserve tous les sentiments qui m’ont traversée pendant mon initiation ...
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