1. La lampe d'Aladdin


    Datte: 23/05/2025, Catégories: A dormir debout, Auteur: Philus, Source: Hds

    ... n’arrêtait pas de boire à cette source merveilleuse quand Juliette l’attira vers elle pour l’embrasser longuement à son tour. Puis repoussant doucement Sophie qui s’allongea sur le dos, la jeune femme lui suçota le menton, puis le cou pour finir par lui lécher les aréoles des seins et les tétons durs comme du bois. Juliette poursuivit son chemin en introduisant une langue habile dans le nombril pour enfin fourrer son nez dans la toison pubienne. Sophie respirait fort, tout son corps attendait le moment précis où les lèvres de Juliette entreraient en contact avec son sexe brûlant et quand celui-ci survint, elle poussa un grand cri. Excitée ainsi qu’elle l’était, Sophie jouit presque immédiatement déversant ce qu’il lui semblait des litres de cyprine dans la bouche de sa bien-aimée.
    
    Les deux femmes se reposèrent un peu dans les bras l’une de l’autre en s’embrassant et se caressant. D’un simple regard, elles décidèrent de recommencer et se positionnèrent tête-bêche. Tous les souvenirs de Sophie lui revinrent en mémoire et elle se rappela ces nuits fantastiques qu’elle avait vécues avec la véritable Juliette, tous ces orgasmes qu’elles s’étaient procurés de cette manière. Elles se léchèrent mutuellement la vulve et jouirent ainsi pendant un temps qui leur sembla infini, puis devinant que l’heure tournait, Sophie sortit de sa table de chevet un double godemichet souple d’un diamètre imposant. Juliette allongée sur le dos, Sophie lui écarta les cuisses et introduisit le faux ...
    ... pénis dans son vagin inondé. Elle se redressa alors et procéda de même pour elle avec l’autre extrémité. Avec un peu de difficultés et beaucoup de mouvements, les deux amantes se positionnèrent de telle manière que leurs sexes se touchaient presque. Chacune d’elle allait et venait sur ce pénis improvisé et les gémissements des deux femmes se mêlèrent. Les deux corps semblaient communier par l’intermédiaire de cet improbable trait d’union de quarante centimètres de long. Sophie avait été bien inspirée, les deux partenaires jouirent après cinq minutes de va-et-vient et les cris d’orgasme en stéréo envahirent la pièce en écho sur les murs. Sophie, qui en voulait toujours plus, se retourna, s’empara de son gros godemichet rose et s’apprêta à le planter dans son anus, quand…— Oh ! Non ! Pas toi…Juliette devenait floue, sa peau si blanche virait au bleu, elle était maintenant intangible, éthérée. Sophie se jeta sur la silhouette encore visible pour un dernier baiser, mais elle n’étreignit que le vent.
    
    Éclatant en sanglots, elle essuya ses larmes avec le drap que Juliette avait mouillé abondamment.
    
    Même son parfum avait disparu.
    
    *
    
    Au milieu de ses larmes, Sophie s’endormit et une heure s’écoula. Les yeux rougis, elle se réveilla soudain inquiète. N’avait-elle pas entendu un bruit dans la pièce à côté ? Elle se leva, se rhabilla rapidement en ramassant ses affaires au sol, ajusta grossièrement ses cheveux et sortit de la chambre. Un homme était assis dans le canapé, la lampe ...