1. La lampe d'Aladdin


    Datte: 23/05/2025, Catégories: A dormir debout, Auteur: Philus, Source: Hds

    ... davantage.
    
    Sophie n’hésita qu’une seconde. Puis elle se leva, se dirigea vers sa bibliothèque et en extirpa un épais album de cuir vieilli. Elle fouilla dans les photos de son année de monitorat à la colonie de vacances et, parmi la vingtaine de tirages aux couleurs passées, trouva le portrait qu’elle cherchait.
    
    — Trois heures avec toi, murmura-t-elle en caressant amoureusement le visage du bout du doigt.
    
    — … Même si je dois en mourir…Puis sans réfléchir, elle s’adressa au génie d’une voix ferme.
    
    — Je prends le risque. Je voudrais passer trois heures avec une femme qui soit le portrait de celle-ci, requit-elle en désignant la photo de sa première maîtresse.
    
    — Sa peau sera laiteuse et lisse, elle n’aura pas de poils pubiens et tout en elle sera parfumé, continua-t-elle.
    
    — À ta guise, répondit sobrement le génie.
    
    — Que le Grand Taleb me vienne en aide et que ton vœu soit exaucé, reprit-il avant de réintégrer la lampe.
    
    *
    
    Quand la scintillante vapeur bleue eut disparu, une très belle femme nue d’à peine vingt ans se dessina devant les yeux impatients de sa conjuratrice.
    
    — Ma Juliette…, murmura celle-ci tendrement.
    
    S’approchant doucement, Sophie la prit par la main et lui susurra :— Viens, ma chérie.
    
    Muette, comme l’homme du week-end précédent, la nouvelle Juliette obéit docilement et se laissa entraîner dans la chambre. Sophie l’entoura de ses bras et avança ses lèvres. Les deux langues se rencontrèrent fougueusement et amoureusement à la ...
    ... fois. Sophie peinait à conserver son sang-froid. Fermant les yeux, elle caressa les fesses de celle qu’elle avait tant aimée, allant même jusqu’à écarter les deux globes pour tâter l’anus qu’elle savait serré. Un flot de cyprine lui inonda la culotte et elle repoussa doucement Juliette sur la couette où elle s’allongea partiellement en gardant les talons au sol. Sophie se déshabilla, se mit à genoux au pied du lit et se glissa entre les jambes pendantes de sa partenaire. Sa vulve était belle, lisse et blanche comme le reste de sa peau, quelques gouttes de sécrétion vaginale perlaient. Sophie n’y tint plus et se jeta, bouche grande ouverte, sur ce trésor qu’elle pensait depuis longtemps ne plus jamais revoir. Au contact, la jeune femme gémit, écarta les cuisses un peu plus et caressa la tête de son amante tout en lui emmêlant les cheveux. La langue de Sophie se faufila partout, chatouillant le petit bouton rose sous son capuchon, s’insérant entre les lèvres de la nymphe béante, léchant anus et périnée, récoltant au passage la délicieuse cyprine parfumée qu’elle avalait avec un plaisir non dissimulé. Il ne fallut pas longtemps à Juliette pour soupirer plus fort et Sophie comprit que le moment était venu. Elle posa sa bouche contre le sexe rougi et titilla fermement le clitoris tout en aspirant les sécrétions vaginales. Sa compagne se raidit soudain tout en enserrant la tête de Sophie entre les cuisses, elle jouit interminablement en hurlant la plainte d’un orgasme violent. Sophie ...
«12...678...»