1. Rafik, directeur de lycée Première partie: Zahia,


    Datte: 08/03/2018, Catégories: Anal Humour Hardcore, Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... pas permis de m’enlever mon khimar.
    
    …/…
    
    Quand, au début de l’année scolaire, Rafik débarqua au lycée, en remplacement de l’ancienne directrice partie à la retraite, ce fut un véritable branlebas de combat parmi les enseignantes. Il avait la quarantaine et, au bonheur des enseignantes non encore mariées, il était célibataire. On ne pouvait pas dire qu’il était beau. Mais il avait un charme indéniable : il était grand, avec des épaules larges, une taille fine, des hanches étroites et un petit cul super mignon. Et il était très brun. Un homme du sud, m’étais-je dit. Mais, surtout, il se dégageait de lui – peut-être à cause de sa démarche de félin - quelque chose d’a****l qui attirait tous les regards des femmes et qui titillait leur intimité. Moi comprise. Quand je le vis pour la première fois, je sentis ma chatte frémir et se mettre à couler. Je n’y avais pas vraiment prêté attention, mais en regardant sa grande bouche de carnassier, surmontée d’une fine moustache de pirate, je ne pus m’empêcher de l’imaginer entrain de me bouffer la chatte. C’était bien la première fois qu’une telle chose m’arrivait : bander pour un homme, sans même le connaître. Mais comme personne ne pouvait savoir ce qui se passait en moi, j’étais rassurée. Par la suite, je sus que je n’étais pas la seule femme dans ce cas.
    
    Zahia la première nous parla de ses sentiments vis-à-vis de Rafik. Elle nous disait qu’il avait une telle façon de la regarder, que sans dire un seul mot, elle savait ...
    ... exactement tout ce qu’il voulait. Elle nous disait qu’elle lisait en lui comme dans un livre. Avec seulement ses yeux, il lui disait qu’il avait envie d’elle et qu’il allait la tirer comme une chienne dans pas longtemps. Il lui disait qu’elle ne pouvait pas lui échapper et que ce sera elle qui viendra dans son bureau pour qu’il la tire. Elle nous disait qu’il avait réveillé en elle un tel désir de se faire tirer par lui, que c’en était devenu une obsession. Elle avait beau essayer, pour compenser, de prendre du plaisir avec son mari, rien n’y faisait. C’était toujours à Rafik qu’elle pensait quand elle baisait avec son mari. Et puis un jour, elle nous annonça que dans l’après-midi elle allait s’offrir à lui. Nous étions curieuses de savoir comment elle s’y prendrait. Aucune de nous n’essaya de la dissuader. Bien au contraire, nous voulions toutes savoir comment les choses allaient se passer. Sans encore nous l’avouer, nous étions toutes intéressées de connaître la suite. Peut-être pour avoir , nous aussi, notre part.
    
    Le lendemain, Zahia, les yeux encore brillant de mille étoiles, nous raconta. Nous étions toutes les trois – Hakima, Zineb et moi - dans la salle des professeurs, quand elle nous rejoignit. A ses yeux brillants et à sa démarche aérienne, nous comprîmes tout de suite que quelque chose d’exceptionnel s’était passé la veille. Quelque chose de fantastique pour elle. Avant même qu’elle ne nous rejoigne, nous eûmes toutes un petit pincement au cœur ; comme un sentiment ...
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