Rafik, directeur de lycée Première partie: Zahia,
Datte: 08/03/2018,
Catégories:
Anal
Humour
Hardcore,
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... compris les élèves des grandes classes – fantasmaient en permanence. Et de fait, Hakima ne pensait qu’à ça : à la bagatelle ! Elle se vantait devant nous d’avoir un amant attitré - un ses voisins, riche et surtout bien monté, qui lui donnait beaucoup de plaisir. Elle était divorcée et avait la garde de ses trois enfants : des adolescents de dix huit, seize et quatorze ans. Son mari, professeur d’histoire géographie dans un autre lycée d’Alger, l’avait quittée, il y avait cinq ans, pour épouser une de ses anciennes élèves qu’il avait engrossée. Elle aussi tomba rapidement dans les rets de Rafik, notre directeur.
Zineb, elle était professeur de sciences naturelles. Elle avait quarante-cinq ans. C’était une superbe rouquine au visage parsemé de tâches de rousseur, qui ajoutaient beaucoup à son charme. Elle était vraiment agréable à regarder. Petite de taille, mais idéalement proportionnée. Tout en elle était harmonieux : son corps gracieux avec de mignonnes rondeurs bien placées ; un visage rond et lumineux ; des yeux verts d’eau, petits et brillants de malice ; une petite bouche ronde, entourée de lèvres superbement ourlées, de couleur rouge cerise. Sa petite bouche, avait été pour nous quatre un long sujet de discussion : nous lui demandions, en nous moquant un peu d’elle, de nous expliquer, comme elle pouvait recevoir l’énorme zob de Rafik, qui adorait particulièrement se faire sucer le manche par ses maîtresses. Elle nous rétorquait chaque fois, qu’elle y arrivait très ...
... bien ! Elle devint, en même temps que Hakima et Zahia l’une des maîtresses attitrées de Rafik.
Moi, je fus la dernière à céder à l’appel du magnifique zob de Rafik. Ce furent mes amies, qui à force de me parler du plaisir intense qu’elles prenaient sous les coups de l’immense piston du mec, me mirent martel en tête et finirent par me pousser vers l’adultère. J’avais toujours été une femme sérieuse. Je n’avais jamais connu d’autres hommes que mon mari, si l’on exceptait un amour de jeunesse – un proche cousin - qui n’avait pas dépassé les limites du flirt superficiel, mais qui avait tout de même réussi à mettre le feu à mon corps de jeune adolescente. Rapidement, mes parents avaient mis fin à cette relation avec ce cousin un peu trop entreprenant à leur goût. Depuis l’âge de seize ans je porte un khimar. Non pas un hidjab qui cacherait tout mon corps. Seulement un khimar qui mettait à l’abri des regards des mâles ma longue chevelure noire et lisse, qui attirait tous les regards sur moi et me mettaient mal à l’aise. Depuis, je ne l’avais jamais plus enlevé. Au départ, il était marron, et puis avec le temps, il avait pris des couleurs et avait gagné en élégance. Depuis mon mariage, j’avais choisi des couleurs gaies, comme le fuchsia. Du plus loin que je me rappelle, il ne me semble pas qu’un homme – en dehors de mon père et de mon mari – ait pu entrevoir ma chevelure. J’en avais fait presque une obsession. Et même cette après-midi où je me suis donnée à Rafik, je ne lui avais ...