1. Rafik, directeur de lycée Première partie: Zahia,


    Datte: 08/03/2018, Catégories: Anal Humour Hardcore, Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... d’envie ou même de jalousie. Zahia était visiblement heureuse. Comme elle ne l’avait encore jamais été. Avec une voix encore pleine d’émotion, avec un rythme saccadé, elle nous raconta. Voici son histoire ; avec ses mots à elle.
    
    …/…
    
    L’histoire de Zahia
    
    « J’avais demandé une audience à Rafik, pour expliquai-je à Wahiba, sa secrétaire, lui parler d’une possibilité de mutation vers un autre lycée d’Alger. Je voulais pouvoir rester un moment assez long avec lui pour pouvoir le séduire. Je n’avais trouvé que ce prétexte qui, me semblait-il, allait titiller assez sa curiosité pour vouloir en comprendre les tenants et les aboutissants. Le stratagème marcha – du moins le crus-je sur le moment. Rafik me convoqua - toujours par l’intermédiaire de sa secrétaire - pour quatorze heures. Je me rendis à son bureau, à l’heure dite, le cœur battant la chamade. J’étais aussi émue et intimidée qu’à mon premier rendez-vous galant, quand j’étais encore adolescente. Quand Wahiba annonça ma présence dans l’interphone, j’entendis sa voix ordonner qu’elle me fasse entrer. L’ordre était accompagné du bruit de la serrure électrique de la porte du bureau qui se déverrouillait.
    
    « La secrétaire, avec sur les lèvres un sourire moqueur, me fit signe d’aller vers la porte et de la pousser pour qu’elle s’ouvre. Ce que je fis, les jambes flageolantes. Quand la porte s’ouvrit, je me retrouvais en face de Rafik, assis à son bureau tout au fond de la grande salle, me toisant à la manière d’un ...
    ... prédateur surveillant sa proie. Je compris tout de suite qu’il avait tout deviné et qu’il m’attendait, non pas pour que je lui explique quoi que ce soit, mais seulement pour me tirer. Dès que la porte se referma (mécaniquement) il se leva de son fauteuil, fit le tour de son immense bureau et vint vers moi, qui m’étais arrêtée devant la porte. Il avait son sourire moqueur posé sur ses lèvres et tendis les bras vers moi comme pour me signifier que j’étais la bienvenue. Il me fit signe d’approcher. J’avais toujours les jambes qui avaient du mal à me porter, mais j’essayais de donner le change.
    
    « J’avançais timidement vers lui, qui avait gardé les bras tendus vers moi. Quand j’arrivais à une cinquantaine de centimètres de lui, je m’arrêtai, ne sachant plus quoi faire. Ce fut là qu’il parla. Non pas pour me demander pourquoi je voulais quitter le lycée, ou quoi que ce soit d’autre. Non ! Il m’apostropha de sa voix rauque, pour me dire que j’étais en retard. Qu’il m’attendait beaucoup plus tôt. Au moins quinze jours plus tôt. Parce que cela faisait longtemps qu’il savait que je voulais qu’il me baise. Dès le départ, il utilisa un vocabulaire ordurier et grossier, pour me montrer que c’était moi qui le voulait et que lui était prêt à me donner ce que je lui demandais. Cela m’avait un peu décontenancée. Mais pas très longtemps. Parce que le diable d’homme s’était approché de moi et m’avait prise dans ses bras. Il me donna le plus magnifique baiser qu’un homme ne m’avait encore jamais ...
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