Rafik, directeur de lycée Première partie: Zahia,
Datte: 08/03/2018,
Catégories:
Anal
Humour
Hardcore,
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
- Demain matin, tu viendras me rejoindre au chalet ! Et tu m’offriras ton gros cul !
- Ça ne va pas ! Je ne veux pas être enculée ! Je l’ai refusé à mon mari, je ne vais pas l’accepter de toi !
J’étais encore allongée sur le dos sur le bureau du directeur, les jambes relevées repliées de part et d’autre de ma poitrine, toute mon intimité offerte au regard concupiscent de Rafik qui appuyait sur mes cuisses relevées pour m’obliger à maintenir la position. Il n’en avait pas fini avec moi, m’avait-il dit, après m’avoir fait jouir comme une folle, deux fois de suite. Je venais pour la première fois de ma vie de femme mariée et de mère de famille, de tromper mon mari. Avec mon directeur de lycée. Et je n’éprouvais aucun sentiment de culpabilité. Bien au contraire, j’étais heureuse. Je venais de vivre un moment de plaisir intense que jamais, depuis notre mariage, il y a maintenant cinq ans, mon mari n’avait réussi à me faire vivre. Et pourtant, il était doué en amour et était assez bien monté. Mais Rafik, c’était quelque chose d’autre ! De là à me demander de revenir le lendemain, rien que pour me faire sodomiser, il n’en était pas question ! J’avais un vrai problème avec la sodomisation. Mon mari avait bien essayé – au moins une dizaine de fois depuis notre mariage – de me convaincre que c’était une chose naturelle et que tous les amants du monde la pratiquaient, rien n’y faisait : je ne pouvais pas me résoudre à offrir mon anus.
Rafik, tout en continuant de mater entre ...
... mes cuisses ouvertes, avait accroché sur ses fines lèvres un sourire moqueur qui voulait dire que, quoique que je dise, demain il m’enculera. Il approcha sa main droite de ma chatte dégoulinante de foutre et de cyprine et y introduisit deux de ses doigts gros, longs et calleux, pour les mouiller. Et il se mit à enduire mon anus pour le lubrifier. J’essayais bien de protester que je ne voulais pas qu’il touche à mon anus, il continua, comme s’il ne m’entendait pas, son œuvre de lubrification de ma rondelle trop serrée. Et sans que je ne m’y attende, il essaya subitement de faire pénétrer les doigts dans mon cul. Je poussai un cri de douleur qu’il étouffa avec sa main gauche, en me disant de ne pas crier trop fort, parce qu’on pouvait m’entendre du secrétariat. Je me rappelais que nous étions dans son bureau et que malgré que les murs et la porte soient capitonnés, en tendant bien l’oreille, on pouvait très bien entendre les cris que je poussais. Wahiba la secrétaire de Rafik savait très bien ce qui se passait dans le bureau de son patron, mais il pouvait y avoir des visiteurs chez elle et il lui serait très difficile de leur donner une explication sur les cris qui provenaient du bureau. Je me tus donc, tout en continuant de protester, contre les manières de l’homme qui me tenait sous son pouvoir.
Ses doigts – l’index et le majeur - avaient fini de pénétrer au-delà du sphincter. Ils me faisaient vraiment très mal. Rafik, comme si de rien n’était, continuait de me ramoner le ...