1. Le futur aïeul et l’ex nymphomane – Premier épisode


    Datte: 17/05/2025, Catégories: fh, hplusag, couleurs, inconnu, handicap, vacances, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, confession, conte, rencontre, Auteur: Peveril Pickwick, Source: Revebebe

    ... du divin sillon de ses fesses, provoquant une inflammation à la périphérie de la piqûre. Deux ou trois coups d’épingle approximatifs après je parvins à extirper l’intruse à l’aide de la pince à épiler.
    
    Le soulagement fut immédiat et la petite se tourna vers moi et planta ses yeux d’ébène dans les miens.
    
    — J’aime comme tu t’occupes de moi ! Un peu comme si tes mains avaient décidé de passer le restant de la nuit sur ma peau.
    
    Elle rit sans retenue pour la première fois. Ce qui eut pour effet d’apaiser la tension érotique entre nous. Mais pas pour très longtemps, car elle en profita pour me préciser que ses hanches aussi étaient douloureuses.
    
    Alors je jetai ma prudence par-dessus les moulins, et je dégainai de ma musette mon fidèle flacon d’huile d’arnica.
    
    — Tu sais, me dit-elle, entre tes mains j’ai l’impression de redevenir une femme tout entière. J’oublie le passé et toutes mes infortunes. Les humiliations. Il faut que tu saches que dans la communauté tzigane les filles sortent rarement de l’ombre. Sauf pour danser quand on leur demande les jours de fête. Et pour baiser dès le plus jeune âge. Mais pour moi, danser sans les bras c’est un peu dérisoire, tu vois ? Il ...
    ... y a un manque comme pour faire l’amour et on en perd vite le goût. Mais maintenant, j’ai envie. Je ne sais pas si c’est à cause de l’épine, mais j’ai la chatte en feu…
    — Où as-tu appris à parler si bien le français ?
    — J’ai dit, maintenant j’ai envie ! Viens te placer dans mon dos s’il te plaît…
    — J’ai bien entendu, Ruth, mais réponds-moi d’abord.
    — Dans la rue ! Je suis arrivée dans ce pays j’avais douze ans. On m’a dit que mes grands-parents étaient morts à Babi Yar au nord-ouest de Kiev. C’était la guerre comme maintenant. Je n’ai pas connu mes parents. De mon enfance, il ne me reste que cette photo jaunie de ma grand-mère. Elle s’appelait Bluma, qui signifie « fleur » en yiddish.
    — Tu lui ressembles beaucoup !
    
    Je posai mes mains sur ses épaules et descendis à la hauteur des moignons. Sans en prendre conscience, je touchais déjà au plus intime.
    
    — C’était une artiste, Bluma. J’ai appris récemment que certaines de ses toiles valent beaucoup d’argent.
    
    Elle se redressa sans effort apparent alors que je m’activais sur l’intérieur de ses cuisses. Son minou exhalait une odeur de sous-bois. Ce fut le moment que choisit Inès, la grande bringue, pour faire son apparition. 
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