Le futur aïeul et l’ex nymphomane – Premier épisode
Datte: 17/05/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
couleurs,
inconnu,
handicap,
vacances,
hsoumis,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
confession,
conte,
rencontre,
Auteur: Peveril Pickwick, Source: Revebebe
... découvrir plus tard que cette souplesse pouvait servir autrement que dans les tâches quotidiennes…
Et que cette attirance, contre toute attente, allait se révéler réciproque malgré la différence d’âge, et peut-être à cause d’elle.
L’avenir devait me le confirmer sous une forme inattendue.
Je garde de ce premier contact furtif un souvenir ému. Un peu comme une toute première fois à l’âge de l’éveil de la sensualité. Mes bras enserrant son dos et sa taille menue. De toutes ces années ma plus surprenante rencontre, parce que si soudaine et inattendue.
En cette fin d’été, le domaine se vida tout doucement. La fin de la saison approchait et resserrait les liens entre les habitués. On s’attarde sur les visages et les voix de ceux qui reviennent chaque année, quelle que soit la couleur du ciel. Les odeurs de gasoil qui succède au passage de la benne se font plus rares, et les écureuils montrent à nouveau le bout de leur nez.
En moins de deux, j’avais récupéré dans la tente tout le nécessaire pour soigner les petits bobos de ma protégée. Assise sur la plateforme des douches, elle se prêta à mes soins avec dans son regard un mélange de gravité et d’espièglerie. Sa peau était d’une douceur exquise et je ne pus m’empêcher de faire durer le plaisir. Je me doutais bien que ma tendre application peinait sans aucun doute possible à dissimuler ma concupiscence. Je m’avisai alors que ses yeux étaient maintenant ouvertement rieurs, et obstinément orientés vers mon bas-ventre ...
... qui ne cachait plus rien de mes pensées. Et là, ce fut à mon tour de piquer un fard.
Sous la douche à ciel ouvert(qui fait le bonheur des naturistes dans ce coin du haut Médoc), elle était assise en tailleur pour se laver les cheveux : activant le bouton poussoir avec l’arrière de sa tête.
Quand on est née sans bras, on sait faire à peu près tout, mais avec les pieds : nager, peindre, faire l’amour et des petits plats, et même se laver les cheveux.
Sa posture révéla clairement tous les aspects de son potentiel érotique. Tout chez elle était admirablement proportionné. La cambrure de ses reins et le grain de sa peau dorée me donnèrent un début de vertige.
Par je ne sais quelle magie, l’absence des bras agissait comme un puissant amplificateur du désir, peut-être nourri de compassion et d’un instinct de protection.
Je me fis la réflexion qu’elle ne connaîtrait jamais le plaisir de se toucher les seins dans l’intimité de sa minuscule tente nichée plus haut dans la partie dunaire, mais j’imaginais être le témoin, et peut-être le complice, du génie d’invention qu’elle pourrait déployer pour se donner du plaisir. Seule ou peut-être avec la complicité de sa compagne d’emplacement. Une grande bringue tatouée dotée d’une allure androgyne, grande et charpentée façon viking qui tranchait avec le côté exotique de celle que j’appelais déjà « ma protégée ».
En dehors d’un gabarit assez comparable, difficile d’imaginer plus dissemblables pour ces deux-là…
Pain d’épice et ...