1. Le futur aïeul et l’ex nymphomane – Premier épisode


    Datte: 17/05/2025, Catégories: fh, hplusag, couleurs, inconnu, handicap, vacances, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, confession, conte, rencontre, Auteur: Peveril Pickwick, Source: Revebebe

    ... des immortelles nombreuses au pied des dunes. On peut même entendre, la nuit venue, la rumeur de l’océan par marée haute. Et bien sûr, l’odeur des pins archi présente, portée par la brise qui enveloppe les corps, trouve parfois son chemin jusqu’au tréfonds de l’âme.
    
    La chaleur aidant, tous les éléments y sont réunis pour exacerber la sensualité… en un mot, tout le charme du naturisme. En prime, cette fameuse « sensation de liberté » qu’on associe souvent à la nudité et à juste raison. Souvent évoquée avec emphase, mais avec plus ou moins d’inspiration.
    
    Avec les années, j’ai perdu beaucoup de cette spontanéité qui fait le sel de la vie. Mais le souffle du vent qui passe sur le corps sans entrave reste une sensation d’une grande sensualité. Pareil pour le ruissellement de l’eau à fleur de peau.
    
    Il est toutefois difficile d’admettre, quand on avance en âge, qu’il se pourrait qu’on ne croise plus jamais l’amour ? Ce sentiment, je le connais et il me fait horreur. Pourtant, à cet instant, je retrouvais des émotions que je croyais devenues inaccessibles.
    
    Ce furent d’abord les genoux qui prirent… et le bas du dos. Des éraflures sans gravité, mais la petite fut un peu secouée tout de même. L’essentiel du choc avait, je crois, principalement atteint son amour-propre. La scène se passa directement sous mes yeux.
    
    Je m’empressai de lui adresser des paroles de réconfort. Faute de vigueur sexuelle, il se trouvait que je les avais dites d’une voix douce qui se prêtait bien ...
    ... à ce genre de circonstance.
    
    Je ne pus m’empêcher d’accompagner mes paroles d’une légère pression sur ses épaules, et je fus saisi d’une irrépressible envie de la prendre dans mes bras. Envie que je remplaçaide facto par une banale adresse du genre.
    
    — C’est rien ! On va arranger ça. C’est pas grave, d’accord !
    
    Elle se pinça les lèvres, un simple hochement de tête et un timide sourire en guise de réponse.
    
    « C’est pas grave, d’accord », mais néanmoins, justement, cette scène-là était représentative d’un de ces signes que le destin vous envoi de temps à autre pour vous rappeler que le temps de l’insouciance nous est compté à tous. Et surtout sur la fin…
    
    On eut dit que son corps rendu si vulnérable lui conférait un charme singulier. De fait, elle était si différente, et cette différence lui procurait un surcroît de présence au monde. Une sorte de magnétisme. Un pouvoir d’attraction incomparable à tout ce que j’avais pu connaître dans ma chienne de vie finissante !
    
    Encore un peu sonnée et rouge de confusion, elle bredouilla quelques mots qui me mirent sur la voie d’une origine peut-être slave. Une voix d’une gravité envoûtante qui tranchait avec la finesse des traits de son visage.
    
    Alors, le plus dur était de la remettre sur ses pieds tout en ménageant sa pudeur, mais en m’accroupissant à hauteur de sa taille, et grâce à sa souplesse hors du commun, ce fut presque une formalité… et l’opportunité d’un premier contact charnel déjà teinté d’attirance.
    
    J’allais ...
«1234...»