1. Le futur aïeul et l’ex nymphomane – Premier épisode


    Datte: 17/05/2025, Catégories: fh, hplusag, couleurs, inconnu, handicap, vacances, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, confession, conte, rencontre, Auteur: Peveril Pickwick, Source: Revebebe

    ... délice d’Ivoire pour l’une. Regard d’opaline tout en douceur et teint presque diaphane pour l’autre malgré l’ardeur du soleil.
    
    Je compris vite qu’entre ces deux-là se passaient des choses que je devinais extrêmement excitantes et dont j’aurais aimé, pour le moins, être le témoin discret… Et que non, décidément, tout n’était peut-être pas fini pour moi, que la vie pouvait être longue si on le décidait d’une source de plaisir permanent ! Ce que j’avais tendance à laisser paraître oublier…
    
    Cette rencontre m’aida à réaliser que ce que je prenais pour de la sagesse de ma part n’était en fait rien d’autre qu’une forme de renoncement. Un prologue à l’amertume et à l’abandon du goût de vivre et d’aimer. Et son corps exprimait à lui seul tout ce qu’il y avait à perdre à ce jeu-là, ou à gagner.
    
    Elle me fit promettre de passer la voir le soir même en précisant avec un air malicieux de ne pas oublier mon petit nécessaire de soins… Et mes mains si douces ! Et pour la première fois, la regardant s’éloigner, je pus contempler ses jolies petites fesses rondes. Une partie de son anatomie qui avait échappé à mes soins… Mais avec la complicité des ronces dissimulées sous les fougères, j’allais être amené à devoir les regarder de bien plus près.
    
    — Pardonne-moi de ne pas me lever, mais j’ai vraiment trop mal au cul ! Je ne peux même pas me tenir assise. Pourrais-tu regarder ça de plus près s’il te plaît ? Sinon je vais devoir dormir debout la nuit prochaine… !
    — …
    
    À ce moment, ...
    ... j’avais probablement l’air d’une poule qui aurait trouvé un couteau à peler les tomates. Figé, je marmonnai dans un filet de voix.
    
    — Mais (…) je ne peux rien faire sans une aiguille !
    — J’ai trouvé, me dit-elle en brandissant une pince à épiler, ça devrait pouvoir le faire. Et puis regarde, oui, j’ai aussi dégoté une aiguille !
    
    Elle me regarda avec un brin d’ironie. Son sauveur aurait-il encore à son âge des pudeurs de gazelle ?
    
    Je sentis que la situation m’échappait totalement et c’était très agréable de se laisser porter par les événements.
    
    Non seulement cette fille était épanouie, mais elle était diablement délurée, pas un poil inhibée par son handicap. J’étais donc invité à examiner minutieusement son joli petit cul, et sans un mot de plus, elle se retourna sur le ventre et releva son paréo à hauteur des hanches d’un geste d’une grâce exquise.
    
    J’étais ébloui par l’éclat de cette jeunesse ! Par la cambrure de ses reins. Le galbe de cette croupe endolorie.
    
    Histoire de gagner du temps, et pour retrouver mes esprits, j’attrapai un coussin que je glissai sous son ventre pour relever ses fesses couleur de pain d’épicesmade in côte Atlantique.
    
    Impossible de me dérober malgré le trouble que je ne cherchais même plus à dissimuler. Armé d’un sourire un peu niais, je me penchai doucement sur l’objet du délit. J’allais tâcher de me débrouiller sans mes lunettes.
    
    — Ah, je comprends, la pauvre gamine !
    
    Une méchante épine sournoise s’était fichée à la naissance ...