1. Entre espionnage et western


    Datte: 16/05/2025, Catégories: fdomine, contrainte, Transexuels Oral attache, policier, Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe

    ... corridor. Un nouveau poc et un nouvel éclat de cadre de porte a volé. Alain a recueilli sa Supérieure dans ses bras et Milly a rugi : « Gardez-la avec vous, protégez les autres aussi » en désignant l’autre chambre où étaient enfermés William et Nicolas. Alain a hoché la tête et Milly a continué : « Je m’en occupe ! », elle était déjà partie dans la cuisine.
    
    Alain confiera plus tard, à des camarades « Je l’ai trouvé si belle : ses jambes musclées sous ses bas noirs, son petit corps, sa jupe rouge volant autour d’elle et ses cheveux… Elle a pris la direction des opérations et je me suis dit : elle pourrait prendre toutes les initiatives avec moi, quand elle le veut… »
    
    Milly a récupéré un couteau de cuisine et s’est cachée derrière le frigo, loin des fenêtres, mais près de la porte, attendant que le tueur de Mickaël pénètre dans la planque. Assurément, ils étaient des assassins, et leur but était qu’il n’y ait aucun témoin de débriefing du dossier 9413 : tout le monde y passerait ! De deux gestes rapides, elle a enlevé ses talons hauts pour les laisser dans un coin.
    
    Le tueur au fusil d’assaut a ouvert la porte tout juste après et a fait un pas dans la cuisine, Milly toujours cachée. Bien qu’il ait l’air expérimenté, dirigeant son arme à gauche, à droite, avant de continuer son avancée, Milly a attendu qu’il ait fait deux nouveaux pas avant de viser le côté de son cou avec la pointe du couteau. Ce dernier est entré comme dans du beurre, faisant jaillir du sang et un ...
    ... hurlement de terreur. Milly a seulement eu le temps de laisser l’arme blanche dans le cou de l’attaquant, de tourner la tête vers la ruelle pour voir deux autres hommes s’approcher dangereusement vers la planque, les genoux fléchis, leurs armes prêtes à rugir. Milly a profité de la surprise, s’est précipitée par terre pour récupérer l’arme de Mickaël, de rouler sur elle-même en tirant cinq ou six fois vers les spadassins qui n’ont eu le temps de répliquer, sinon dans les airs, pour rien, en s’affalant. La jupe rouge de Milly, dans ces gestes rapides, s’était relevée sur ses hanches et Alain a observé l’arrondi de ses fesses, sous un slip noir et sexy. Milly s’est redressée et est retournée en cuisine : le premier homme, avec le couteau dans le cou, râlait encore. Milly l’a abattu comme on abat des chevaux avant de demander à Alain :
    
    — Tout va bien ?
    
    Alain a hoché la tête. Il dira à ses camarades, plus tard : « C’est à ce moment, quand elle m’a dit ça, que je me suis aperçu que je bandais… vous rendez-vous compte ? En pleine bataille, j’avais une érection ! » Juliette quant à elle était assise par terre, les cheveux en désordre, choquée.
    
    — Appelle le fourgon de récupération, on dégage au plus tôt ! Et il en reste deux, je crois, j’y retourne ! a lâché Milly avant de jeter un œil par la fenêtre.
    
    Elle n’a vu aucun des tueurs sur le toit. Elle a vérifié le chargeur de son arme, il lui restait neuf balles. Nouveau coup d’œil, toujours rien, elle est sortie en courant à ...