1. Entre espionnage et western


    Datte: 16/05/2025, Catégories: fdomine, contrainte, Transexuels Oral attache, policier, Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe

    ... jarretière élastique à mi-cuisse, les petits seins. Il sourit avant de déclarer, goujat :
    
    — Parce que vous ne saviez comment m’aborder ? Vous êtes tombée sur mon dossier, vous m’avez trouvé charmant, vous m’avez invité à discuter avec un but derrière la tête peu avouable à la hiérarchie, voilà tout !
    
    William a confiance en lui et en son charme, qu’il ne manque pas d’ailleurs. Mais cette fois-ci, il joue de son charisme sans tactique, à la volée. La femme ne relève pas et n’est pas choquée par la boutade emplie de sous-entendus sexuels. Elle fait seulement un petit sourire et encourage l’homme devant elle, intéressée par la défense qu’il veut emprunter :
    
    — Ah oui ? Vraiment ?
    — Oui ! Écoutez, je connais tout le monde dans le Service. Et vous, si je vous avais déjà vue, je vous aurais remarqué…
    
    La mince agente en jupe rouge hoche la tête, quelque peu surprise par la technique de drague de William pour faire dévier le sujet. Celui-ci reluque sans se cacher les jambes de l’agente. Il sourit, sûr de lui, écarte les jambes, relax, exhibant presque son entrejambe sous son jeans.
    
    — Donc, vous croyez que si vous avez reçu ma convocation, c’est parce que je vous trouve charmant, que je vous veux et que je ne savais comment vous aborder, c’est cela ?
    — Vous avez tout compris ! lui répond-il satisfait, en laissant sa main glisser vers sa ceinture.
    
    La femme en jupe rouge esquisse un sourire de manière curieuse tout en hochant la tête de gauche à droite, démontrant ...
    ... une forme d’exaspération :
    
    — Vous avez tout faux, William, et vous le savez très bien.
    — Ah bon ? tout en feignant la surprise.
    — William, vous racontez n’importe quoi. Vous êtes ici concernant le dossier de l’Aristo.
    
    Ce n’était pas pour ce dossier que William avait été convoqué, c’était pour « la bataille aux cinq espions » : il s’était fait prendre à attaquer une collègue.(Mais comme les deux affaires étaient liées, je m’étais dit qu’il valait mieux éviter « la bataille » et engager les hostilités avec l’Aristo.) La réaction de William est cette fois-ci une surprise non feinte. Bien qu’il soit bien formé, et probablement un bon agent, il ne peut réprimer une sorte de soulagement à l’idée que la femme devant lui n’aborde pas la bataille chez Charlène.
    
    — Ah oui, l’Aristo, New York…
    — Voilà.
    — Je n’ai rien à dire à ce sujet.
    — Écoutez William : il serait mieux pour vous que vous collaboriez à mon enquête, vous ne croyez pas ? Je vais donc me présenter et ensuite vous me raconterez comment vous avez contribué à l’opération dite de l’Aristo. D’accord ?
    
    Il acquiesce, stoïque un court moment, réfléchissant probablement au quart de tour aux conséquences que tout cela peut avoir sur sa carrière, et sur certaines informations qu’il a en sa possession. Puis il reprend ses esprits, fait un sourire ravageur(je comprends l’attirance qu’avait pu avoir Raïssa envers lui) et réattaque la femme devant lui, aguicheuse et laissant paraître son porte-jarretelles :
    
    — En effet, ...
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