1. Entre espionnage et western


    Datte: 16/05/2025, Catégories: fdomine, contrainte, Transexuels Oral attache, policier, Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe

    ... soufflé.
    — Pourquoi ? Alors que je n’étais déjà plus moi, mais Milly, belle femme d’une quarantaine d’années se regardant dans le miroir.
    
    J’ai eu des flashs, des visions de mon visage masculin, des visions de mon visage féminin, des visions de mes visages, ce MOI était où, c’était qui, j’étais qui, Milly était-elle moi, étais-je Milly, est-ce que ? J’ai répété :
    
    — Pourquoi ?
    — Parce que, comme tous les hommes, trop fiers de leur importance d’avoir une bite, l’Aristo a cru pouvoir me dominer !
    — C’est-à-dire ?
    — Tu le sais très bien ! Il m’a fait des avances, voulait coucher avec moi, voulait que je le suce pour que notre Service obtienne les renseignements qu’il voulait nous donner, tout ça quoi !
    
    Je me suis tu parce que Raïssa était énervée. Elle se promenait dans la planque en se prenant les cheveux, elle respirait avec rage et je savais qu’elle en avait contre ce fichu patriarcat où ces hommes se croient dans le bon droit parce qu’ils sont forts, et matures, et virils ! Je voulais la laisser décanter. Je l’ai arrêté lorsqu’elle a repris le rouge à lèvres pour en appliquer une nouvelle fois sur mes lèvres :
    
    — Raïssa, ça va ! j’en ai déjà !
    
    Elle m’a regardé, surprise, étonnée, voyant qu’en effet elle avait terminé ma transformation. Elle a éclaté de rire :
    
    — Excuse-moi, c’est vrai, sans arrêter de rire.
    — La suite, c’est quoi ? Il faudra que je parte dans peu…
    
    Elle est redevenue opérationnelle en me prenant par les épaules. En me regardant dans les ...
    ... yeux, elle m’a raconté d’une traite :
    
    — Je ne sais pas de qui tu parles, darling. Moi, je ne suis jamais allé à New York dernièrement, je m’appelle Milly et j’ai une mission à accomplir… ai-je dit, une dernière fois MOI.
    
    Raïssa, de nouveau, a éclaté de rire et Milly l’a prise dans ses bras.
    
    Avec des dents de kali autour de sa bite, William pouvait tout avouer. Avec des lèvres chaudes autour de sa bite, Nicolas pouvait tout avouer. Les hommes étaient faciles à manipuler, chacun à leur manière. Le plus difficile restait à faire. Juliette.
    
    Après avoir soustrait les informations de Nicolas, Milly a toqué à la porte quatre fois rapidement, puis deux fois espacées. Alain a déverrouillé de l’extérieur puis a laissé sortir Nicolas, la tête basse.
    
    — Escortez-le. Il est toujours détenu !
    
    Nicolas a lancé un regard triste et coupable à Milly qui n’en a fait fi. « Quel minable ce Dadais – même s’il a une belle queue », a-t-elle pensé en avalant sa salive mélangée au reste de son sperme.
    
    Lorsqu’elle a toqué pour faire sortir un William à la queue douloureuse et rougeâtre, Alain n’a pas ouvert de suite. Milly avait détaché le détenu, lui avait remonté le pantalon en lui laissant les dents de kali autour de son membre.
    
    — Je garde la clé ! lui avait-elle susurré à l’oreille en bouclant sa ceinture.
    
    William avait été docile, devait songer au reste de sa vie sexuelle…
    
    — Les dents de kali ne sont pas si terribles, Milly, lui a-t-elle dit en attendant qu’Alain ouvre ...
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