1. Entre espionnage et western


    Datte: 16/05/2025, Catégories: fdomine, contrainte, Transexuels Oral attache, policier, Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe

    ... la porte, elle empêche de bander… c’est tout ! À l’avenir, dès que tu sentiras le sang enfler ta bite, tu connaîtras la douleur et ton cerveau te fera débander de lui-même, il ne faut pas s’en faire…
    
    Malgré ces encouragements, William aussi avait la tête basse et se tenait l’entrejambe de ses deux mains. Déjà, toute envie de se battre et de se débattre s’était évaporée.
    
    En ouvrant la porte, Milly a remarqué les yeux d’Alain, attendant dans le corridor, inquiet. Milly ne lui a pas laissé le temps de parler en clamant :
    
    — Il est toujours détenu !
    
    Alain a fermement pris par le bras un William confus et défait pour l’enfermer dans la chambre en face. Puis, il est revenu vers Milly, aux aguets :
    
    — Mickaël a remarqué des ombres sur les toits. Il croit que quelque chose se prépare…
    — Des ombres sur les toits ? a répété Milly.
    — Des snipers !
    — Et pourquoi y aurait-il des snipers qui surveilleraient la planque ?
    — On ne sait jamais madame !
    — La troisième détenue est-elle arrivée ?
    — Je vous l’amène.
    
    Milly est restée dans le couloir, les mains sur les hanches, à attendre le troisième agent du Service à débriefer : Juliette. Celle-ci est arrivée avec son assurance naturelle de femme qui se sait belle et qui se sait au-dessus de tout soupçon. Qui sait que personne ne peut rien lui refuser ! Milly est restée de marbre, alors que les yeux bleus tentaient de découvrir qui était cette agente qui la débrieferait et qu’elle n’avait jamais rencontrée. Juliette, plus ...
    ... grande que Milly, a tenté d’imposer sa superbe, étant plus jeune qu’elle, avec ses longs cheveux blonds coiffés en natte le long de son épaule, sa chemisette échancrée et sa jupe courte au-dessus des genoux. Milly a pensé : « C’est une actrice porno ? Ou une Ursulla Andress un peu vulgaire ? » D’un geste du bras, Milly l’a invité à pénétrer dans la chambre :
    
    — Par ici, madame.
    
    Juliette a fait une moue de dédain : « On ne me la fera pas à l’envers ! » et Milly a émis un petit rire sarcastique – pourquoi donc y a-t-il de la compétition entre deux femmes de pouvoir ? – avant de la suivre et de fermer la porte derrière elle :
    
    — Asseyez-vous.
    
    Juliette a obéi sans rouspéter, hautaine, fermée, prête à répondre à toutes questions, mais selon son angle de vue. Milly a songé qu’il faudra faire tomber certaines barrières, alors qu’elle s’asseyait à son tour. Le soleil commençait à se décliner et jetait des rayons d’or à travers les stores. Les stries jaunes chevauchaient les cheveux platine de Juliette, son visage stoïque, son corps ferme, en chaire, ses cuisses… La lumière du soleil couchant tentait de s’immiscer dans le sillon entre ses seins… Juliette était une belle femme et Milly s’en rendait compte. Même qu’un éclair a parcouru son ventre et son entrejambe tandis que Juliette la fixait. Milly a dû se déplacer sur son fauteuil pour ne pas laisser voir l’érection qui pouvait pointer malencontreusement. Juliette la troublait et au fond d’elle, tout au fond de moi, je me ...
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