Entre espionnage et western
Datte: 16/05/2025,
Catégories:
fdomine,
contrainte,
Transexuels
Oral
attache,
policier,
Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe
... s’approchant, de plus en plus excité : « Rhooo rhooo, ouais… » Puis, en l’espace de quelques secondes, cette belle queue s’est fait entourer par des dents de Kali : un anneau possédant douze dents qui se sont plantées dans la fine peau de sa verge. William s’est mis à hurler !
Et Milly n’avait jamais déclenché le mode « Enregistrement » du micro posé sur la table. Le seul enregistrement existant était celui de mon téléphone, qui transmettait en « live » les discussions au téléphone de Raïssa. Raïssa, actuellement aux aguets, probablement, écoutant tout ce qui se passait dans cette chambre. Elle devait sourire en entendant William beugler. Milly a regardé vers la porte, soudainement inquiète : parfait, Alain l’avait écouté, il n’était pas entré dans la chambre.
Milly s’est relevée, fière de son coup, alors que William la suppliait de la libérer, des larmes dans les yeux, les bras attachés derrière le dossier du fauteuil, la bite à l’air, entourée par ce cockring à piques. Malika avait acheté ces dents de kali sur un coup de tête. Pour moi. Nous ne nous en étions jamais servi. J’avais refusé. Puis je l’avais chipé.
Milly s’est penchée vers le visage de William, un sourire malicieux aux lèvres, a planté ses yeux dans les siens et du doigt lui a caressé le bout du gland :
— Maintenant, vous allez arrêter de faire le connard, et enfin me dire ce que je recherche : qui était cet agent étranger ?
Les deux agents qui nous ont attaqués chez Charlène, Nicolas et ...
... William, tout ce qu’ils ont dit à Milly lors de ces interrogatoires, je le savais déjà. Raïssa me l’avait raconté à l’aube du même jour, alors qu’elle m’aidait à me transformer en une Milly stupéfiante qui devait jouer un rôle en plein soleil. J’étais assis, elle était accroupie et m’aidait à attacher le porte-jarretelles.
— Les États ?
— Je préférerais ne pas trop t’en dire, pour l’instant, OK ?
— Une histoire classique…
— Oui.
Raïssa me racontait tout ça alors qu’elle scrutait les pores de ma peau, appliquant un fin maquillage sur les joues, mes lèvres, coiffant les cheveux pour que Milly ait l’air plus crédible que d’habitude. J’appréciais cette attention, car Milly sort de nuit, où tous les chats sont gris. À la lumière du soleil, on voit les imperfections.
— Les États ?
— Ça ne sert à rien de le cacher, naturellement… m’a-t-elle répondu en riant.
— Il avait raison, c’était dangereux Raïssa…
Elle s’est penchée pour me regarder dans les yeux. Qu’elle était belle ! La profonde noirceur qu’elle cachait dans son regard :
— J’ai pensé te contacter pour que tu sois là, au cas… qu’aurais-tu fait ?
— Je t’aurais accompagné.
— Sans avertir Richard et le Comité d’Action ?
J’ai acquiescé alors qu’elle s’était remise à boucler mes cheveux, elle a continué :
Raïssa s’est tue dans sa narration, se mordant la lèvre, voulant énoncer des phrases, mais je voyais bien qu’elle se retenait de tout dire.
— Il a fait quoi ?
— C’est là que tout a déconné… a-t-elle ...