Entre espionnage et western
Datte: 16/05/2025,
Catégories:
fdomine,
contrainte,
Transexuels
Oral
attache,
policier,
Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe
... Elle a joué le jeu voulu par William. Avec un petit sourire empli de sous-entendus, Milly s’est levée de son fauteuil toujours en lissant ses cuisses. Tranquillement, pour attiser un certain désir que William s’imaginait, elle a fait quelques pas vers lui. Rendue à ses côtés, alors qu’il la regardait d’un œil surpris de convoitise et que sa ruse absurde ait fonctionné, Milly a caressé délicatement son épaule de ses doigts.
— William, pour les besoins de cet entretien enregistré, quel était l’objectif principal de la mission à New York… ?
— Ne pourrions-nous pas plutôt… ?
— Faites-moi confiance… mais répondez à mes questions… a-t-elle susurré dans son oreille, après s’être accroupie.
En même temps, Milly lui caressait les cheveux puis s’est faufilée derrière le fauteuil que l’agent du Service Action occupait. Milly avait tout prévu. Debout derrière lui, elle lui massait les épaules tendrement alors que William récitait :
— Nous avions comme mandat de récupérer les documents d’un agent étranger.
Et en quelques secondes, Milly a saisi les bras de l’agent, soudainement surpris. Elle les a rapidement ramenés derrière le dossier du fauteuil puis les a enferrés dans deux anneaux qui se sont refermés sur ses poignets en un « clac » retentissant. Ces anneaux étaient liés au dossier du fauteuil, William y était arrimé :
— Mais qu’est-ce que vous faites ?
— Chuuuuut, je vous ai dit de me faire confiance… a-t-elle de nouveau chuchoté dans son autre oreille, tout en ...
... caressant son torse. Continuez, je vous prie…
— Nous aurions pu faire, euh, autrement… ?
William ne se sentait plus en position de force, garrotté au fauteuil face à une petite femme qui semblait avoir un but caché.
— Oui, mais c’est moi qui mène cet entretien, alors… qui était cet agent étranger ?
— Détachez-moi et je vous en parlerai !
Milly n’a pas répondu. Elle a plutôt cherché dans son sac à main un objet qu’elle a caché derrière son dos comme une gamine avant de revenir vers William, les jambes écartées, les bras attachés. Elle a rigolé tout en s’agenouillant puis en dégrafant son pantalon d’une main experte. Dans une autre vie, Milly avait déjà vu le sexe de William, alors que Raïssa chevauchait son visage sur un lit d’une chambre d’hôtel à New York. Cette queue lui avait fait envie et vu la réaction de cet agent trop sûr de lui, Milly avait décidé de passer à la manière forte.
D’ailleurs, quelques heures avant, Raïssa lui avait glissé, les yeux pleins de fureur : « Si tu as à le torturer, n’hésite pas ! » Milly avait tout prévu.
Le pénis de William a jailli de son pantalon et Milly a feint un petit cri de surprise, mettant sa main devant sa bouche. En effet, il était beau cet engin, mais son propriétaire en était trop fier. Large et long, solide et en veine, circoncis, un beau gland rouge qui pourrait être tout doux sous la langue… mais Milly avait d’autres intentions. Pendant ce temps, observant les gestes de Milly, William ronronnait du plaisir ...