1. 0310 Un coup de tonnerre déchire l’horizon.


    Datte: 12/05/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... cessent de caresser mes tétons avec un doigté magique, ainsi que par le petit goût d’excitation qui ne cesse de suinter de son frein, comme un petit cadeau de retrouvailles.
    
    « Attends, Nico, tu vas me faire jouir ! » je l’entends me glisser.
    
    Et je continue de le pomper, car je veux le faire jouir, je veux retrouver son goût de mec, je veux m’enivrer de la puissance de ses giclées.
    
    « Je ne veux pas jouir de suite, il insiste, tout en se retirant de ma bouche.
    
    — J’en ai trop envie ! je proteste.
    
    — Viens ! », il me lance, tout en écartant ses cuisses musclées, s’offrant à moi sans réserve. Le bogoss crache sur ses doigts et prépare son entrejambe pour se faire pénétrer.
    
    Un instant plus tôt j’avais envie de recevoir son jus dans la bouche. Et là, en une fraction de seconde, mon envie a complètement changé de signe. Désormais, j’ai envie de pénétrer, de coulisser et de gicler dans son magnifique cul.
    
    Au milieu de cette excitation de fou, mon esprit arrive quand-même à m’envoyer un flash de raison.
    
    « Dis-moi, Jérém…— Quoi ?
    
    — Est-ce que tu as pris des risques ?
    
    — Non… enfin, pas trop, en tout cas. Et puis, à mon arrivé au club, j’ai eu droit à tous les bilans de santé qui existent. Tout était bon. Et… toi ?
    
    — Non, je n’ai pas pris de risques… je… je me suis toujours… protégé…— J’ai envie de toi, Nico…— Moi aussi, j’ai envie de toi… »
    
    Un instant plus tard, ma langue caresse son trou avec gourmandise. Le bobrun vibre d’excitation.
    
    Je culpabilise ...
    ... par rapport à Ruben, je me sens mal à l’idée de lui mentir et de le tromper. Même si c’est avec Jérém. Et pourtant je ne peux pas ne pas m’abandonner à ce bonheur parfait.
    
    Lorsque je sens mon gland vaincre la résistance de ses muscles et ces derniers enserrer ma queue, lorsque je retrouve la chaude douceur de son intimité, lorsque je me sens glisser en lui, là encore je ressens cette double impression de retrouver un Paradis perdu et d’en découvrir un tout nouveau.
    
    Voir ce corps de dieu grec, ce torse, ces pecs, ces abdos, ces poils et cette gueule, sa belle petite gueule, ce jeune mâle imposant prendre manifestement du plaisir au gré de mes va-et-vient, l’entendre ahaner, gémir même, de bonheur, c’est juste inouï. Pour me convaincre que c’est bien réel, j’ai besoin de tâter ses biceps, ses pecs, de l’embrasser, de caresser ses cheveux, sans cesse.
    
    En nous ayant longuement sucés à tour de rôle, nous nous sommes largement chauffés auparavant. Alors, lorsque Jérém plaque ses mains sur mes tétons et que ses doigts commencent malicieusement de les pincer, je me sens décoller. Mon orgasme se ramène au grand galop. J’arrive à le stopper, en arrêtant brusquement mes coups de reins.
    
    « N’arrête pas, m’encourage le bobrun.
    
    — Si je continue, je vais jouir…— N’arrête pas… »Je me penche sur lui et je l’embrasse. Le contact de mon torse avec ses poils est le frisson de trop, celui qui me fait perdre pied. Je me relève, alors que l’orgasme m’envahit. Je rencontre son regard, ...
«12...171819...22»