0310 Un coup de tonnerre déchire l’horizon.
Datte: 12/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... fixement braqué sur moi. Les yeux dans ses yeux, je jouis comme un malade.
Tu n’iras pas voir un autre gars pour faire ce que tu ne peux pas faire avec moi ?
Les mots et le regard de Ruben transpercent mon esprit pendant que je jouis.
Puis, assommé par l’intensité du plaisir qui a traversé mon corps comme une décharge de courant, je m’affale sur le torse de mon bobrun, j’atterris sur sa douce toison mâle, et je cherche l’apaisement dans le creux de son épaule. Ses bras se referment autour de mon corps, et je suis aux anges.
« Encore aujourd’hui je n’arrive pas à croire qu’un mec aussi viril que toi ait envie de ça, avec moi…— T’es le seul avec qui j’ai fait ça… t’es le seul parce que t’es un beau petit mec… et parce que je me sens bien avec toi. »Je le serre fort dans mes bras et j’ai envie de lui dire à quel point je l’aime, mais je me retiens. Je ne suis pas encore prêt, je ne sais pas si j’ai le droit de lui dire de tels mots.
« Tu as envie de jouir ? je le questionne.
— Et comment !
— Fais-moi l’amour, alors, je lui glisse, en me retirant de lui.
— Tu as envie, là, tout de suite ?
— Oui, grave ! »
Je m’allonge sur le dos et Jérém passe l’oreiller sous mes fesses. Ses mains écartent fermement mes cuisses alors que ses lèvres et sa langue donnent l’assaut à mon trou.
Son gland prend rapidement le relais, mais sans me pénétrer tout de suite. Je crève d’envie de le sentir venir en moi, de le sentir en moi, de le sentir coulisser en moi. Il le ...
... sait, et il me fait languir.
Lorsque sa queue essaie de se frayer un chemin en moi, il rencontre quelques difficultés. Je suis serré, et je ressens intensément chaque millimètre gagné par son bel engin. A un moment j’ai mal. Je n’ai pas besoin de le lui dire, il le ressent à la crispation de mon corps, et il se retire aussitôt. Il pose de nouveaux baisers sur mes lèvres, et un peu plus de salive entre mes fesses. Et il revient en moi. Cette fois-ci, il s’enfonce jusqu’à la garde. Je kiffe à fond me sentir rempli par ce beau manche bien chaud et bien raide. Et je kiffe tout autant voir mon Jérém frissonner de plaisir.
Le beau brun commence de me limer. Je le sens bien coulisser en moi, et c’est divinement bon. Son torse bien droit dégage une sensualité virile renversante. Je suis happé, hypnotisé par la puissance, la souplesse et la nonchalance de ses coups de reins. Tous mes sens sont en ébullition. L’amour avec Jérém, c’est un bonheur visuel, olfactif et sensuel inouï. Et lorsque ses mains se posent sur mes tétons, j’ai l’impression de décoller.
Et alors que je viens tout juste de gicler en lui, le beau brun n’a pas son pareil pour me faire me sentir à lui. J’ai envie qu’il me défonce, qu’il me baise pendant toute la nuit, j’ai envie qu’il gicle en moi, qu’il me remplisse. Mais ce n’est pas assez. Je ressens une envie déchirante de lui montrer à quel point sa virilité m’impressionne. Je tâte fébrilement ses biceps, ses pecs, une sorte d’hommage animal à la puissance ...