0310 Un coup de tonnerre déchire l’horizon.
Datte: 12/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... J’ai un sommeil léger… »Le bobrun jette son mégot dans le feu. Puis, il se lève, ôte son t-shirt d’un geste nonchalant et pourtant chargé d’un érotisme fou, me claque à la figure ses pecs et ses tablettes de chocolat, et vient me rejoindre au lit. Il se glisse sous la couette, puis se glisse sur moi. Il me regarde droit dans les yeux, il passe sa main dans mes cheveux, il me caresse doucement. Ses lèvres cherchent les miennes, nos langues se rencontrent. C’est doux et terriblement excitant.
Peu à peu, les baisers deviennent plus coquins, les mains plus audacieuses. Nous sommes emportés par le désir fougueux. Jérém soulève mon t-shirt. Le contact direct avec sa peau chaude et sa douce toison mâle embrase mes neurones. J’ai envie de tout avec lui, de le sucer, de l’avoir en moi, mais aussi de me faire sucer et d’être en lui. J’ai envie de lui à un point indescriptible, et je ne saurais pas choisir quoi faire en premier.
Et c’est Jérém qui se charge de trancher. Au bout d’un long moment de câlins de plus en plus sensuels, le bobrun passe « aux choses sérieuses ». Pendant qu’il lèche fougueusement mes tétons, sa main se faufile dans mon boxer, saisit ma queue raide et commence de la branler.
Ses lèvres glissent le long de la ligne médiane de mon torse, en ponctuant ce délicieux petit voyage d’un chapelet ininterrompu de doux bisous. Le bobrun baisse mon boxer et me prend en bouche. Je frissonne. Il me pompe avec une douceur extrême, il me suce comme un mec amoureux, ...
... et c’est divinement bon. Je suis obligé de lui demander de ralentir pour ne pas jouir trop vite.
Mais ça n’y fait rien. Le simple fait de sentir sa langue s’enrouler autour de mon gland et ses lèvres enserrer ma queue me met dans un état d’excitation qui m’approche inexorablement de l’orgasme. Pour ralentir sa venue, je n’ai pas d’autre choix que de me faire violence, me retirer de sa bouche, alors que tout mon corps crie son envie de jouir. Mais je ne veux jouir si vite. Car il y a tant de plaisirs urgents qui se pressent à mon esprit avant l’apothéose des sens.
Comme le sucer, déjà. A mon tour, j’agace ses tétons, je m’attarde dans sa belle toison mâle brune entre ses pecs, je tâte ses pecs, ses biceps et ses abdos d’acier. Et je retrouve enfin, après des mois d’éloignement, sa belle queue raide et conquérante. J’ai eu quelques aventures, mais jamais je n’ai trouvé une queue aussi belle, aussi appétissante. Ça fait tellement de temps que je ne l’ai pas touchée, que le simple fait de la tenir dans ma main, dure, gonflée à bloc, brûlante, me bouleverse. C’est comme si je la voyais et l’empoignais pour la première fois.
Et en même temps, lorsque je la prends en bouche, ma langue et mes lèvres reconnaissent instantanément son gabarit, la texture de sa peau fine, le relief des veines qui la parcourent, le profil de son gland délicieux. C’est une sensation étonnante, que ce bonheur après une si longue privation.
Je le pompe comme un fou, excité par ses mains qui ne ...