Le sac à main
Datte: 08/05/2025,
Catégories:
fh,
prost,
gros(ses),
grosseins,
complexe,
hotel,
cérébral,
Auteur: Moctezuma, Source: Revebebe
... perdre la tête de se sentir ainsi lubrifié des phéromones qu’elle dépose sur sa peau. Ainsi enveloppé de salive et de sueur, il ne se sent plus client, il est sa proie.
Et d’ailleurs quand elle relève les yeux, il lit une intensité presque inquiétante dans le regard de Margaux. Pas loin de la fureur. Comme si elle était moins là pour le satisfaire que pour lui faire regretter ses actions. Qu’il aille voir ailleurs ! Qu’il ose payer quelqu’un pour baiser, et qu’il ne veuille pas l’avoir pour toujours.
Margaux se relève, contemplant d’un air satisfait son œuvre. Pas un seul centimètre carré de peau n'a échappé à sa langue. Thomas a les lèvres sèches de désir. Il tend le cou pour essayer de l’embrasser, mais elle le repousse violemment contre le lit. Elle s’écarte et se met debout au-dessus de lui. Margaux est toute humide. Ses doigts parcourent lentement son corps jusqu’à franchir l’élastique de sa culotte. Thomas voit à travers le tissu qu’ils s’introduisent en elle. L’escorte ferme les yeux. Elle ne résiste pas au plaisir de faire durer le moment. Mais très vite, elle reprend ses esprits.
Et de ses doigts trempés, elle humidifie les lèvres de Thomas, puis les siennes. Il sent l’odeur musquée du liquide épais lui emplir les narines. Et la bouche de Margaux redescend vers son sexe de nouveau complètement tendu. Thomas sent qu’elle y met toute son énergie. Mais il essaye de faire durer le plaisir. Il ferme les yeux pour essayer de ne pas perdre le contrôle. Au loin, ...
... il entend les gémissements fauves d’une femme qui crie son plaisir. Il perd pied. Et pour la deuxième fois de la soirée, il se répand d’un long râle entre les lèvres expertes de son escorte qui veille à nouveau à ne pas en perdre une goutte.
Le souffle court, il se cale contre l’oreiller, aspirant enfin à un peu de repos. Mais Margaux ne semble pas l’entendre de cette oreille. Il lui faut moins d’une minute pour que ses doigts retrouvent le chemin de l’entrejambe de son client.
— Il me faut un peu de temps. Je ne sais pas si je peux encore…
— Mais si c’est tentant de recommencer, réplique Margaux, en se mordant la lèvre et en jouant avec une mèche de ses cheveux à la manière aguicheuse d’une mauvaise actrice de série B.
— Tu m’as complètement vidé…
Soudain, Margaux se love comme une chatte contre lui. De conquérante elle devient féline. Il sent son corps chaud et humide blotti contre sa peau. Il ne sait pas pourquoi, mais il n’est pas sûr que ce soit par tendresse. Elle lui glisse à l’oreille :
— Oui, mais tu comprends… j’ai en vraiment besoin…
— Oui, mais…
— S’il te plaît… pour moi…
— J’aimerais beaucoup, mais…
— Je suis ta petite pute…
— Non, je ne peux pas !
— C’est parce que t’aimes pas mes fesses !
Les yeux de Margaux lancent soudain des éclairs. Et elle fait la moue, comme une petite fille qui boude.
— Hein ! Mais si…
— Tu peux le dire. Tu les trouves trop petites.
— Mais… non, pourquoi tu penses ça ?
— La culotte dans le sac. C’était du 44… ...