1. Le sac à main


    Datte: 08/05/2025, Catégories: fh, prost, gros(ses), grosseins, complexe, hotel, cérébral, Auteur: Moctezuma, Source: Revebebe

    ... s’enfuit de la chambre. Claire ressort de la salle de bain. Pour Mehdi, c’est comme une apparition. Dans son ensemble blanc, elle déployait un érotisme sophistiqué. Mais elle l’a échangé contre une simple nuisette, dont le tissu paraît si léger qu’il semble pouvoir s’envoler au moindre souffle. Chacune de ses courbes semble vouloir jaillir du vêtement. Il est presque certain que si elle se penche un peu, un sein s’échappera de la nuisette. Claire tourne sur elle-même pour se faire admirer. Elle semble satisfaite de son effet.
    
    — À table !
    
    Et pour Mehdi, le dîner est plus un spectacle pour les yeux que pour le ventre. Car Claire mange d’un bon appétit. Et cette gourmandise le fait bander. Elle est comme une invitation aux plaisirs de la chair, un hédonisme simple fait d’un désir insatiable pour les plaisirs de la vie. Les lèvres pulpeuses de Claire se font enveloppantes autour des aliments. Et plus il la dévore des yeux, plus elle mange avec délectation le repas fin qui leur a été servi. Claire déborde d’une volupté qui le fait frémir en permanence.
    
    — Tu n’as pas beaucoup mangé…
    — Je préférais te regarder…
    — Alors, il faut que tu puisses bien voir.
    
    Et Claire vient s’asseoir sur ses genoux. Sa poitrine abondante se balance sous son nez. Ses cheveux lui tombent sur les épaules.
    
    — Tu as vraiment des… beaux seins.
    
    Elle a senti l’hésitation sur l’adjectif.
    
    — Tu veux dire, des… gros seins.
    — Oui.
    — Des gros seins de pute ?
    — Oh oui !
    — Ils sont à ...
    ... toi.
    
    Elle se presse contre lui pour offrir ses larges aréoles à lécher. Et il ne se fait pas prier pour les prendre à pleine bouche. Les doigts de Margaux agrippent sa nuque et le pressent fort contre sa poitrine. Elle est lourde sur lui. Il se sent comme écrasé de sa puissance sensuelle, asphyxié de désir. Elle ne lui laisse pas la moindre seconde pour reprendre son souffle. Il sent la chaleur mouillée de ses lèvres qui l’embrassent là, dans le creux sous l’oreille. Qui lui chuchote des encouragements. Et ses mots sont emplis d’obscénité. Ils la rendent moite. Ils le rendent fou… mieux que des caresses qui glissent à fleur de peau. Claire est pantelante, à sa merci. Des gouttes de sueur s’écoulent le long de son dos. Elle dégouline contre sa cuisse. Il sent qu’il n’a avec elle aucun ménagement à garder, aucune limite à la façon dont, sur son corps, il peut chercher son plaisir.
    
    Et les mots se transforment en soupirs. Un gémissement d’abord un peu théâtral. Comme pour le stimuler, et il sent son sexe palpiter contre le ventre rond et chaud de l’escorte, mais comme pris au jeu de son propre gémissement, il sent que Claire se met à frémir, à feuler. Ses doigts s’agrippent à lui avec une soudaine violence. Elle ne fait plus que s’offrir, elle implore, elle réclame. Et le visage enfoui entre les seins de Claire, dans un cri grave, Mehdi jouit contre le doux nombril de l’escorte. Et ce sperme qui colle à leurs peaux les unit dans la même étreinte.
    
    Du reste de la nuit, Mehdi ne se ...
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