La chouette
Datte: 28/04/2025,
Catégories:
ff,
fbi,
fplusag,
plage,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
caresses,
Oral
jeu,
init,
conte,
contes,
lesbos,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... n’aviez jamais vu de femme nue…
— Non. C’est la vérité, Juliette…
— Eh bien… C’est un peu étonnant, mais je vous crois. Donc, depuis le temps que vous me regardez… vous devez avoir satisfait votre curiosité… M’étant comportée en modèle patiente et docile, j’aimerais assouvir ma propre curiosité maintenant ?
Gwendoline est véritablement gênée par ma petite pointe.
— En fait… j’espère que vous ne m’en voudrez pas… je suis autant curieuse que menteuse.
— Tiens donc… pourquoi ? Je ne vous en voudrais pas, rassurez-vous…
— Je vous ai regardé longtemps. Enfin… Avant de me montrer…
Le soleil me chauffe et ma peau brille de sueur. Je ris tout en attrapant ma bouteille d’eau. Si mon rire est sincère, mon geste n’est pourtant qu’une excuse, pour cacher mon trouble. Pourtant, les mots me viennent sans que je me force.
— Il n’y a pas de mal ! Vous n’êtes pas seule à apprécier les femmes. Moi, je les aime beaucoup.
Gwendoline rougit et secoue vivement sa tête comme si elle ne comprenait pas.
— Oh non ! Je n’aime pas les femmes !
— Ah ? Alors j’avoue être un peu larguée là…
Je ne lui mens pas. Tout simplement, parce que cette femme ne peut empêcher ses yeux de se porter sur mes seins. Son regard glisse souvent sur mon ventre, avant de caresser mon pubis lisse. Quand mes cuisses s’ouvrent légèrement alors que Gwendoline fixe mon ventre, je m’assure d’un coup d’œil que je ne me trompe pas. Et si Gwendoline rougit légèrement, ses yeux magnifiques ne se détournent ...
... pas. Bien au contraire, ils ne perdent rien de mon mouvement.
— C’est simplement… Je ne sais pas comment vous expliquer… Je fantasmais un peu ! Voilà…
J’ai soudain très envie d’elle. Une envie brutale qui me tord le ventre et me chauffe les joues.
— Quel genre de fantasme ?
Ma curieuse voisine est bien plus rougissante que moi, et n’arrive plus me regarder en face.
— Vous découvriez que je vous espionnais et vous m’appeliez…
— Oh… C’est un bon début. Et ensuite ?
J’ose lancer lentement ma main et mes doigts sont sous son menton.
— Regardez-moi, Gwendoline… Si vous saviez l’effet que me font vos yeux !
Son regard se plante un instant dans le mien avant de se baisser sur mes seins.
— Je n’ai jamais touché une femme…
— Et aucune femme ne vous a jamais touchée.
Mes doigts caressent la nuque chaude de cette femme si étrange, puis glissent lentement sur son épaule, baissant la bretelle de son léger débardeur. J’ai le temps de remarquer que ses petits tétons se sont dressés et griffent le coton du vêtement. Je laisse mes doigts caresser la peau nue de son épaule.
— Pas comme ça, en tout cas…
— Et n’aimant pas les femmes, je suppose que vous trouvez mon geste désagréable.
Ses yeux dans les miens, elle soupire d’un air légèrement agacé.
— J’ai l’air de trouver ça désagréable ? Simplement, je sais que je n’oserai pas toucher une autre femme… je gâcherais tout.
Gwendoline semble surprise, quand je bouge et me lève. Et déçue, quand mes doigts ...