La chouette
Datte: 28/04/2025,
Catégories:
ff,
fbi,
fplusag,
plage,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
caresses,
Oral
jeu,
init,
conte,
contes,
lesbos,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... compagne, qui refuse avec un sourire.
— Un coup de téléphone et s’il le peut, il nous rejoint chez vous.
— Les couples d’aujourd’hui sont donc si libres ? C’est ce que j’en ai conclu en parcourant Internet…
— Les autres, je ne sais pas. Le nôtre, oui. Nous y avions beaucoup réfléchi et… nous sommes heureux de notre liberté.
Gwendoline, reste un instant sans mot dire, et ses yeux d’or pâle semblent interrogateurs.
— Et sans lui ?
— Eh bien… sans la possibilité de le prévenir avant, je me laisserai tout de même aller. Avec vous s’entend !
— C’est une tromperie, ça !
Je suis sérieuse en l’assurant du contraire.
— Non. Dès ce soir, je lui raconterai tout et Patrick comprendra. Je lui détaillerai tout, sans rien omettre.
Elle ne questionne pas. Ma voisine paraît songeuse.
— Mais… croyez bien qu’il en profitera pour me le faire payer.
Gwendoline me fixe et hoche la tête d’un air dépité.
— Aïe ! Pas si libres que ça, donc !
Cette femme se rend-elle compte qu’elle joue à un jeu quelque peu étrange ? Je ne suis pas sûre qu’elle sache réellement où se posent ses charmants petits petons.
— Hé oui… Mes aveux feront de moi une vilaine femme. Sa vilaine épouse. Alors il me prendra sans arrêt, pendant des jours, et je subirai sa vengeance. Il me punira en me laissant nue, des soirées entières. Il me fessera chaque soir. Des fessées que je ne pourrai pas éviter malheureusement. Il m’attachera, me ligotera, ou me menottera au lit. Il me bandera les ...
... yeux, et usera et abusera de moi ! Il me traitera comme sa chose, me répétant encore et encore que je suis une salope… Quelle horreur !
Encore, ce rire grave que je trouve maintenant charmant.
— Vous êtes adorable, Juliette ! Je n’y crois pas une seule seconde, bien sûr.
Sourire et regard goguenard.
— C’est très exagéré, oui. C’est pourtant, la vérité. Et vous savez quoi ? J’adorerais ça !
Gwendoline, joues prêtent à s’enflammer, reste coite. Sa large bouche sensuelle a formé un O surpris sans qu’elle ne puisse l’empêcher.
— Vous avez une très jolie bouche, Gwendoline…
Les si beaux yeux trahissent maintenant tout un tas de sentiments contradictoires. Gwendoline sait que je ne plaisante pas, mais n’ose croire à ce que je viens d’avouer. Il y a un brin d’incompréhension, une touche d’incrédulité, de la curiosité, et une jolie pointe d’excitation, dans le regard d’or qui me fixe. Et ce que je viens de dire sur sa bouche lui plaît beaucoup. Inconsciemment ou non, elle aime me plaire.
— Curieuse de quoi ?
La grande bouche sensuelle de cette femme, décidément charmante, affiche une moue étonnée.
— Vous me disiez être une petite curieuse ! Tout à l’heure…
Gwendoline baisse les yeux en riant doucement.
— Ah oui ! J’étais intriguée… de voir une femme nue… Mais ne vous affolez pas, hein ! C’était une simple curiosité.
Si je ne m’affole pas, une douce brûlure bien connue me chauffe le ventre, et je prends mon temps pour chercher mes mots.
— Vous ...