1. Don Booth et la mafia de la junk food


    Datte: 26/04/2025, Catégories: fh, fhh, asie, grossexe, grosseins, bizarre, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, délire, Humour policier, Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe

    ... grande partie à vous que je le dois !
    
    Je me sentis rougir. J’avais envie de partir avec elle au Brésil. Elle se tourna vers Sixmartini et je retins in extremis un soupir de plaisir lorsque je vis les boucles encore humides de ses cheveux voler autour de son visage.
    
    — Et vous, vous devez être la fameuse Sixmartini. On m’a également parlé de vous et du rôle que vous aviez joué dans cette affaire. Mais il y a une question que je dois vous poser…
    — Oui ?
    — Comment faites-vous pour être si rapide ! Seulement 8 secondes, c’est extraordinaire ! Je veux connaître ta technique !
    
    J’avais bien entendu ? Oui, malheureusement j’avais bien entendu…
    
    — Mais comment êtes-vous au courant de…
    — Chut, je t’ai dit ne pose pas de questions comme ça, interrompit Sixmartini. Ils sont beaucoup plus puissants que tu ne peux l’imaginer !
    — Mais ils ne peuvent pas savoir…
    — Si ! Ils peuvent !
    
    J’eus envie de me cacher au fond d’un trou. Adieu Brésil, adieu, Jennifer, adieu amour… Comment la regarder à nouveau en face alors qu’elle était au courant de ce genre de détails ? Pourtant elle ne semblait pas vraiment attacher de l’importance à mes défaillances, mais plus aux techniques de Sixmartini. Celle-ci la prit à part à l’autre bout de la pièce et se mit à lui murmurer à l’oreille. Pendant ce temps, j’avisai un mini bar dans un coin de la pièce et m’enfilai tout ce que j’y trouvai.
    
    Les deux filles revinrent très vite vers moi et Jennifer avait un sourire étrange qui aurait ...
    ... presque pu me faire flipper si je ne l’avais pas trouvé si belle.
    
    — Il faut qu’elle essaye quelque chose, dit Sixmartini en me poussant sans ménagement sur un canapé sur lequel je m’écroulai les quatre fers en l’air. Jennifer se jeta sur ma braguette et avant que j’aie eu le temps de réagir, ma queue était à l’air libre.
    — Tu ne dis rien. Tu laisses faire, me dit Sixmartini d’une voix autoritaire.
    
    Et pour une fois, je n’essayai même pas de bégayer un truc et, un grand sourire idiot en travers de la tronche, j’encourageai Jennifer du regard.
    
    La belle acheva de défaire mon pantalon et le fit descendre à mes chevilles. Elle s’installa entre mes cuisses et je sentis les boucles brunes de ses cheveux effleurer ma peau lorsqu’elle se pencha vers mon membre qui n’avait pas pris plus d’une fraction de seconde à se dresser vers le ciel tout seul comme un grand.
    
    Sa bouche chaude et accueillante se referma autour de mon gland puis ses lèvres descendirent jusqu’à toucher mon pubis. Sixmartini s’était placée juste à côté d’elle et lui murmurait des conseils à l’oreille. Jennifer se mit à faire des allers-retours sur ma verge tout en multipliant les mouvements de succion divers. Je sentais sa langue frotter de façon experte contre mon gland et je fermai les yeux malgré moi tant la sensation était exceptionnelle. Sixmartini était volcanique, Jennifer était plus dans la douceur, mais cela me convenait également et je ressentis la même sensation de brûlure lorsque je me vidai dans sa ...
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