Don Booth et la mafia de la junk food
Datte: 26/04/2025,
Catégories:
fh,
fhh,
asie,
grossexe,
grosseins,
bizarre,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
délire,
Humour
policier,
Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe
... sacrément du bien ! Le taxi me déposa au pied de l’hôtel. Le chauffeur me tendit un trousseau de clés que je reconnus immédiatement :
— Mais bon sang ! C’est le double de mes clés !
— Votre voiture est garée sur le parking, vous pourrez rentrer chez vous quand vous le voudrez. Ma mission s’arrête là, je vous souhaite plein de bonnes choses avec votre désir.
Et l’homme démarra sans plus rien ajouter. Je fis quelques pas derrière le taxi en criant :
— Mais quel genre d’organisation êtes-vous donc !
Sixmartini m’agrippa par le bras.
— Ne demande jamais ça ! Tu ne veux pas connaître la réponse, crois-moi !
— Mais c’est fou ce truc, ils encerclent mon bureau avec des centaines d’hommes, se battent contre des chihuahuas féroces, déplacent ma voiture comme si de rien n’était… mais qu’est-ce que tu fais là toi au juste ? Pourquoi tu n’es pas restée dans le taxi ?
— J’avais envie de connaître ta Jennifer. Je veux voir à quoi ressemble une femme capable de m’éclipser !
— De t’éclipser ?
— Tu n’as pas essayé de me baiser. Tout le monde veut me baiser. La seule fois où tu as fait quelque chose, c’était pour aider ton amie un peu folle qui était dans ton bureau. Alors je dis que cette Jennifer doit être spéciale pour que tu me regardes pas alors que tu passes la nuit avec moi nue.
— Karen n’est pas folle, et oui je crois que Jennifer est spéciale. Viens.
Nous allâmes main dans la main jusqu’à la porte de la chambre de Jennifer et je ne pus m’empêcher de sourire ...
... en voyant Sixmartini tenter désespérément de serrer les pans du manteau sur les lambeaux de T-shirt déchiré qui laissait jaillir ses énormes mamelles.
Je n’osai pas toquer à la porte de la chambre et laissai la jeune femme s’en occuper. Je me sentais comme un ado un soir de premier flirt. J’aurais aimé m’enfiler trois bourbons d’affilé. La porte s’ouvrit et je me mis à fondre pendant qu’une musique langoureuse et romantique s’invitait dans ma tête.
Jennifer était là. Elle sortait de la douche et ses cheveux étaient encore collés autour de son visage, faisant d’elle à mes yeux la femme la plus belle que je n’avais jamais contemplée. Elle ne portait qu’un simple peignoir qui arrivait à peine à mi-cuisse et j’étais captivé par ses jambes interminables. Je ne m’aperçus même pas que Sixmartini m’avait poussé à l’intérieur de la pièce et avait refermé la porte derrière nous, j’étais captivé, hypnotisé, liquéfié dans un rêve, niais, mais heureux.
— On m’a raconté tout ce que vous aviez fait pour moi, Monsieur Booth.
Cette voix ! Je me serais damnée pour l’entendre murmurer à mon oreille ! Je bredouillai :
— Oh, vous savez, finalement je n’ai même pas pu parler à votre père comme je vous l’avais promis.
— Mais vous avez fait tellement d’autres choses. Vous avez négocié pour assurer ma sécurité. Sans vous, je ne serais sûrement pas saine et sauve ici. Un avion part pour le Brésil dans moins d’une heure. Je serai dedans, définitivement débarrassée de mon père, c’est en ...