1. Don Booth et la mafia de la junk food


    Datte: 26/04/2025, Catégories: fh, fhh, asie, grossexe, grosseins, bizarre, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, délire, Humour policier, Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe

    ... gorge en gémissant de plaisir. J’ouvris les yeux et vis le visage de Jennifer qui me souriait pendant qu’elle caressait ma bite qui redevenait peu à peu molle comme on flatte l’encolure d’un cheval qui a bien couru.
    
    — 67 secondes, plutôt bon !
    
    J’en voulus presque à Sixmartini de venir faire ce genre de remarque à ce moment-là, j’aurais aimé rester en tête à tête avec Jennifer. Mais cette dernière se leva et passa à la salle de bain pour se vêtir. Elle ressortit très vite, habillée comme je l’avais vu plus tôt dans la soirée, attrapa un petit sac dans lequel elle fourra ses quelques affaires puis vint nous faire une tendre bise.
    
    — Je dois partir maintenant, je vais bientôt embarquer, l’avion ne m’attendra pas. Merci encore pour tout. Merci à vous deux !
    
    Et elle fit un clin d’œil complice à Sixmartini avant de quitter la chambre. Je soupirai de tristesse en réalisant que je ne la reverrais peut-être jamais, mais les 67 secondes de plaisir qu’elle m’avait donné resteraient pour toujours dans ma mémoire.
    
    — Tu me ramènes chez moi ?
    
    Je revins à la réalité. Fini le Don Booth romantique, place à l’homme d’action, le seul, le vrai.
    
    — Tu as raison ! Partons ! J’ai quelques comptes à régler avec Karen !
    — Je veux venir. J’ai envie de revoir ton amie un peu folle, elle a l’air sympa !
    — D’accord, mais à une condition ! Moi, j’aime bien quand ça dure un peu, alors tu ne lui apprends pas tes trucs de professionnelle de la pipe !
    
    Nous montâmes dans ma vieille ...
    ... Ford (je n’arrivais toujours pas à croire que ma voiture avait pu se retrouver là) et reprîmes le chemin de la ville en parlant de choses et d’autres.
    
    La soirée m’avait totalement vidé, dans tous les sens du terme. Une torpeur léthargique s’emparait peu à peu de moi alors que je conduisais ma Ford sur les avenues désormais presque désertes de la ville. Sixmartini me parlait de choses et d’autres, de sa sœur, de son boulot… J’entendais à peine, mes paupières étaient lourdes comme un semi-remorque.
    
    Le cri de Sixmartini me fit sursauter. L’espace d’une fraction de seconde, je me demandai pourquoi cette dingue hurlait comme une hystérique. Et puis il y eut le choc… Ma voiture percuta le lampadaire de plein fouet dans un fracas de tôle, nous projetant tous les deux dans tous les sens. Heureusement que je roulais doucement…
    
    Tel un type qui aurait fait une rencontre brutale avec le poing de Mike Tyson, je repris mes esprits avec peine.
    
    — Ça va ?
    — Oui, je crois… Et toi ?
    
    Je tâtai tous mes membres les uns après les autres.
    
    — Oui, tout à l’air d’être à sa place. Bon sang ! J’ai dû m’assoupir !
    
    Je sortis de la voiture, la portière gémit comme une vieille femme.
    
    — Merde ! Ma Ford ! Putain !
    
    La voiture était une ruine, j’aurais pu verser une larme…
    
    — J’espère que tu avais fini de la payer ?
    — Cette bagnole a presque vingt ans ! Elle a partagé ma vie, les bons moments comme les mauvais…
    — À t’entendre, on croirait que t’es marié avec cette ferraille ! Allez, ...
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