1. L'amour tue-t-il ?


    Datte: 25/04/2025, Catégories: fh, hagé, médical, jalousie, cérébral, confession, Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe

    ... Surprise ! Je réalise que j’ai un début d’érection, je ne l’avais même pas senti venir ! Depuis combien de temps n’avais-je pas bandé ainsi ? J’avais prévu de consulter un sexologue prochainement pour savoir s’il me restait un mince espoir de retrouver une virilité vaillante, et voilà que le manège des deux femmes qui m’entourent fait mieux qu’une prescription de Viagra !
    
    L’assistante de vie a le regard trouble, les lèvres humides. Elle est venue s’asseoir à mon côté, avance avec une désespérante lenteur sa main vers mon membre puis l’a posé dessus avec une évidente gourmandise. Elle a murmuré d’une voix rauque :
    
    — Ce que je vais vous faire, Papy, votre idiote blonde préférée ne vous le fera jamais ! En Europe, on apprend aux filles à écrire, en Afrique, à aimer !
    
    Elle a écarté ses doigts pour mieux jauger mon pieu et entamé de lascifs allers-retours autour. Son autre main s’est glissée vers mes bourses et les a soupesées délicatement. Je regardais ce fascinant spectacle avec un étrange recul, comme si je n’en étais pas acteur. Sa tête s’est penchée vers moi, son incroyable chignon est venu caresser mon torse. Ses épaisses lèvres se sont ouvertes, la blancheur de ses dents scintillait, une langue effrontée a pointé et est venue butiner mon méat. J’ai alors senti dans mon bas-ventre ce délicieux trouble du plaisir qui monte, je l’imaginais à jamais disparu.
    
    Sa bouche s’est faite ventouse et m’a absorbé, ses petits seins pointus ont ripé sur mes cuisses, son chignon ...
    ... m’a chatouillé l’abdomen. Que c’était bon, cette bouche chaude et humide autour de mon sexe ! Elle a accéléré le rythme, m’a englouti entièrement, j’ai senti dans mon bas-ventre monter la sève, elle miaulait comme une petite chatte. Puis l’orgasme m’a saisi, et je me suis vidé dans ses amygdales. Elle a avalé ma semence consciencieusement, comme du petit lait, jusqu’à la dernière goutte, puis a relevé la tête et dit, avec un regard trouble :
    
    — Ce qu’il y a de bien avec vous, c’est qu’on peut tout boire !
    
    Une fois de plus, je me suis émerveillé de la métamorphose que génère le sexe chez une femme. La petite chatte de gouttière s’était muée en superbe panthère affamée ! J’espère dorénavant être suffisamment fort pour assumer une pipe au moins hebdomadaire dans les soins que m’administre Fatou. Pour lui donner du cœur, je vais l’augmenter significativement.
    
    Moi, Jean Philibert, je suis l’unique vrai mâle et le seul véritable maître de cette demeure qui m’a été léguée par ma bien regrettée mère, Jeanne-Marie, qui la tenait de son père. Demeure que j’ai entretenue sans relâche avec mes propres deniers, jardin que j’ai cultivé de mes mains. J’aspire à ce que toute personne de sexe féminin sous la protection de mon toit devienne ma concubine de fait, car j’estime avoir tout droit en ces lieux.
    
    Tout comme cette exotique assistante de vie. Quand elle eut fini son service, je l’attendais dans le grand salon sur un fauteuil d’où elle ne pouvait pas me voir. Je l’ai appelée, ...
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