1. L'amour tue-t-il ?


    Datte: 25/04/2025, Catégories: fh, hagé, médical, jalousie, cérébral, confession, Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe

    ... elle a sursauté de peur. Je l’ai menacée de prévenir la police, je lui ai dit que j’avais installé des caméras et filmé tout ce qui se passait à l’étage de Jean Frédéric et que je détenais toutes les preuves de son honteux commerce, ce qui est tout à fait exact. Il fallait la voir demander pardon, elle aurait rampé à mes pieds. Comme je suis magnanime, je l’ai arrêtée alors qu’elle était agenouillée, et je lui ai expliqué que je voulais contrôler ses aptitudes afin d’éviter des mauvais traitements à ce pauvre Jean-Frédéric. J’ai dégrafé mon pantalon et je lui ai présenté ma sonde pour vérifier ses aptitudes.
    
    Pendant que j’examinais l’exotique opérer – elle était manifestement très douée – j’ai eu comme un besoin de lui parler, de lui montrer des marques de gentillesses. J’ai caressé son visage, j’ai lissé la choucroute qu’elle arborait sur sa tête, sentir sa langue en mouvement à travers ses joues m’a grisé. Je lui ai avoué qu’au début je l’avais moins remarquée comme femme qu’en poulette de banlieue. Elle semblait passionnée par mon monologue, et me regardait régulièrement avec l’air de me demander de continuer. Me comprenait-elle vraiment ? Je lui ai aussi confié que ce n’est que lorsque le vieil usurpateur m’a exigé des sous pour avoir les faveurs sexuelles de l’exotique, que je me suis intéressé à elle en tant que femme. Elle me questionna du regard alors que sa langue s’enroulait langoureusement autour de mon gland dans une caresse diabolique qui m’obligea à prendre ...
    ... une longue respiration. Ces petites blacks ont le sexe dans le sang !
    
    — En effet, continuai-je, cet usurpateur qui n’est plus en mesure d’aller pisser sans être aidé ou seul à la banque retirer des billets. Soyez lucide, mademoiselle Fatou, l’argent qu’il vous a donné est le mien, et je ne regrette pas cet investissement, vous le valez bien.
    
    Elle me regarda mi-amusée, mi-terrifiée. Je lui accordais qu’elle avait passé avec brio la première étape de son contrôle d’aptitudes, mais que dans mon désir d’approfondir les choses, je souhaitais aller plus loin dans l’examen. Je lui fis ôter son pantalon ce qui ne semblait pas une mince affaire tant son train ne l’était pas. Elle ne fit pas de problème et retira d’elle-même sa microscopique culotte sans que j’eusse besoin de lui préciser ce point important. Cette exotique Fatou me plaisait, elle avait une vive intelligence du corps et un derrière proéminent, qui lui donnait cette allure de Vénus callipyge, elle semblait donc digne de recevoir ma divine virilité. Je la penchai en avant et je l’empalai d’un coup pour me retrouver en elle dans un océan de douceur.
    
    Fatou commença à crier à mesure que je la sondais. Je ne pouvais pas lui en vouloir, comment cette exotique, mais authentique banlieusarde aurait pu résister à mes assauts de dandy parisien super membré sans émettre la moindre effusion de jouissance sonore. Avant d’ameuter le vieil usurpateur, j’ai saisi mon Africaine par sa tignasse, qui semblait d’ailleurs avoir été ...
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