1. L'amour tue-t-il ?


    Datte: 25/04/2025, Catégories: fh, hagé, médical, jalousie, cérébral, confession, Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe

    ... sa recherche. Le spectacle que je découvre en entrant à son étage me fait défaillir : c’est un véritable capharnaüm ! Le sol est jonché de bibelots cassés, d’assiettes brisées, de couverts éparpillés. Je m’approche de la chambre en évitant les nombreux débris qui jonchent le sol. Assis sur son lit, Jean Frédéric a le visage écarlate et le souffle court.
    
    — Monsieur Jean Frédéric, avez-vous bu l’eau de Fatou ?
    
    Un filet de bave aux lèvres, mon patient me répond d’une voix étranglée :
    
    — Non, je n’ai pas soif.
    — Avez-vous bu de l’eau ?
    
    Il me regarde surpris, son visage terrible fait peur à voir.
    
    — Non Audrey, je n’ai pas bu, je viens de vous le dire.
    — Qu’est-il passé avec Fatou ? Qu’est-il arrivé, Monsieur Jean Frédéric ?
    — Cette petite pute de Fatou a refusé de faire grimper la tour Eiffel !
    
    J’ouvre des yeux comme des billes et, prenant ma voix la plus douce, lui susurre :
    
    — La tour Eiffel ? Je ne vous comprends pas…
    
    Alors, le vieillard s’agite sur son lit, glisse la main dans la braguette et sort son sexe très légèrement érigé en me jetant un regard imploré. Je réalise tout d’un coup : l’ascension de la tour Eiffel, c’est la gâterie buccale que cette salope lui réservait régulièrement ; j’en avais découvert les vestiges à plusieurs occasions. Mon cerveau se met à fonctionner à toute vitesse. Le code déontologique de mon métier interdit bien évidemment tout rapport sexuel avec les patients. Mais humainement, ai-je le droit de laisser ce vieil homme au ...
    ... bord d’une apoplexie qui pourrait lui être fatale ? Dans le fond je sais faire au moins aussi bien les fellations que cette garce de Fatou, et de nombreuses choses qu’elle ne sait pas faire ! Je fais face à une situation d’urgence où les grands principes peuvent s’effacer devant la réalité concrète.
    
    Alors, très lascivement, je déboutonne mon chemisier jusqu’au nombril, m’avance sensuellement vers mon patient en lui dédicaçant un regard plein de promesses. Réalisant que je consens à lui octroyer le traitement apaisant réclamé, ses prunelles s’éclairent d’une lueur de bonheur inoubliable. Je baisse langoureusement la ceinture de son pyjama. Son sexe pointe comme un petit mât, son énergie virile m’étonne. Il devait vraiment avoir envie ! Me courbant devant lui, j’engloutis son pieu. Je le sens se durcir et croître. Décidément, j’aurais goûté toutes les queues de la famille, et celle du père vaut peut-être celle du fils !
    
    Ses mains ne restent pas inactives : l’une s’est glissée dans mon corsage béant et me pétrit les seins pendant que l’autre relève ma jupe, soulève mon shorty et se glisse dans ma chatte. Je mets toute ma science de femme dans la fellation que je lui administre, lui titillant le méat de la langue, gobant son gland avec gourmandise, longeant son spectre de mes lèvres, l’engloutissant presque jusqu’à la garde en alternance. Les petits gémissements qu’il émet me prouvent la justesse de mes gestes. De son côté, il n’est pas inactif, et, mon bourgeon découvert, ...