1. Épilogue (provisoire)


    Datte: 15/04/2025, Catégories: ff, fplusag, fsoumise, fdomine, Masturbation intermast, Oral fgode, fdanus, jouet, bougie, fouetfesse, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... Le temps de m’enduire l’endroit d’une copieuse dose de gel, elle m’a enfilé dans le cul un petit gode dont les vibrations ont immédiatement charmé mon fondement. Encore une découverte qui m’a fait regretter de l’avoir ignorée si longtemps ! Mais pas question de m’appesantir sur mes lacunes en matière d’érotisme, ni sur le mystère d’un accessoire qui tenait seul, elle me tendait déjà un autre gode et le flacon de lubrifiant.
    
    — Soyez gentille, Chantal. Rendez-moi le même service.
    
    Je ne me suis pas fait prier. L’œillet qu’elle me présentait, je l’avais léché sans le voir. Je pouvais maintenant en contempler à loisir la forme ronde et plissée comme la couleur sombre qui tranchait sur la pâleur de la peau alentour. J’ai dédaigné le gel, j’ai couvert de ma salive les bords et le centre. J’ai apprivoisé son troufignon de ma langue avant de l’investir avec un curieux instrument oblong resserré à sa base. Il l’a avalé sans forcer et s’est refermé dessus.
    
    Il n’apparaissait plus entre les fesses qu’une sorte de rondelle ovale et souple ornée d’un micro interrupteur. Le mystère était levé. Je me suis hâtée d’enclencher le mécanisme pour enchanter à son tour le cul de Colette. Le trémoussement lascif de ses hanches m’a montré que le but était atteint, et rappelé les fourmillements qui montaient de mon propre troufion.
    
    Les vibrations dans mon rectum entraient en résonance avec les pulsations de mon vagin. Ce n’était plus un besoin, c’était une exigence : une bite, une queue, ...
    ... vraie ou fausse, n’importe quel simulacre pourvu qu’il me remplît ! Les jambes en l’air, sur le dos, j’ai supplié mon amante de venir sur moi.
    
    Elle m’a prise comme un homme. Son gode a écartelé ma chatte, j’ai gémi de douleur autant que de bonheur sous la poussée qui comblait mon vide. Mais Colette ne voulait pas de cette posture triviale. Son bras a glissé sous mes reins, m’a attirée sur ses genoux et obligée à me redresser. Son sexe artificiel ne m’a pas quittée, étonnamment flexible malgré sa grosseur. Je l’ai enlacée, je me suis serrée contre elle, à cheval sur ses cuisses et jouant du bassin à la rencontre du sien.
    
    Ma vulve distendue autour de son gode, ses nymphéas coiffant mes nymphes, mes lèvres comprimées par ses créoles, ses seins caressant les miens, nous nous embrassions, langue à langues et tétons à tétons, dans un coït étrange aussi tendre qu’endiablée. J’étais pleine et heureuse. Unies par le gode, nous échangions nos spasmes, la houle de l’une enflait celle de l’autre, l’orgasme venait. Je voulais qu’il nous prenne ensemble.
    
    La tête de son vibromasseur s’est encastrée entre nous, coinçant nos pubis contre sa boule vibrionnante. Le brutal tremblement imposé à mon clitoris m’a fait monter en flèche. J’ai lutté pour retenir ma jouissance, pour qu’elle n’éclate qu’avec la sienne. Nos corps se sont tendus, nos mains se sont crispées, nos reins se sont cambrés, nos culs se sont serrés, le gode s’est fiché profond dans nos ventres, et nos râles d’amour se sont ...
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