Épilogue (provisoire)
Datte: 15/04/2025,
Catégories:
ff,
fplusag,
fsoumise,
fdomine,
Masturbation
intermast,
Oral
fgode,
fdanus,
jouet,
bougie,
fouetfesse,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... sur mes cuisses et mon buste.
— Ne vous inquiétez pas, me rassura Colette. Demain, au plus tard, il n’y paraîtra plus.
— Je ne suis pas inquiète. Vous savez que j’ai une totale confiance en vous.
— Oui Chantal, je le sais. Vous ne vous seriez pas offerte totalement à moi, sinon.
— Je ne suis pas sûre qu’il ne s’agisse que de confiance, Colette. Je crois que c’est aussi par amour.
— Stop, ma chérie ! Je vous interdis encore une fois de dire des bêtises. Restons-en à l’amitié amoureuse, à une affectueuse inclination, si vous voulez. Et profitons sans calcul ni retenue de nos moments de passion partagée, pour la baise ou les sévices. C’est tout un, d’ailleurs.
Je me suis à nouveau sentie comme une élève devant sa maîtresse. J’avais beaucoup appris avec Colette, d’elle et surtout sur moi. Ma marge de progrès restait pourtant conséquente. J’ai cherché sa chatte derrière mes fesses. Elle avait gardé ses lourdes créoles à travers ses longues et larges petites lèvres, mes chers nymphéas. J’ai joué avec ces anneaux d’esclave qu’elle porte, comme un défi, quand elle me domine. Oui, j’ai pensé au présent à cet instant précis, en me constituant définitivement sa soumise dans mon for intérieur. J’aurais aimé que nous continuions mon apprentissage de la souffrance érotique. Je savais qu’une étape nouvelle me laisserait des traces trop visibles. Succomber à la tentation ou obéir à la raison, j’hésitais en caressant amoureusement ce sexe féminin dont j’avais découvert les ...
... délices.
— Votre clitoris est toujours douloureux, Chantal ? Vos lèvres aussi ?
— Oui Maîtresse, merci, ai-je étourdiment répondu en oubliant la distinction convenue entre « tu » et « vous ».
— Nous ne jouons plus, m’a gentiment rappelé Colette. Ne vous laissez pas entraîner dans une forme d’addiction. Répondez-moi sérieusement et franchement : avez-vous encore mal ?
— Excusez-moi, Colette. J’étais perdue dans mes pensées. Oui, le clito, les grandes et les petites lèvres, les tétons aussi, tout est endolori, me lance parfois. Mais c’est supportable.
— Vous avez enduré peut-être un peu plus que nécessaire pour une initiation. Pourquoi être allée si loin ?
Je lui ai avoué que j’avais eu souvent l’envie tenace de crier le mot de sécurité, que je m’étais contrainte à me taire par orgueil et par curiosité, mais que j’étais surtout enivrée par une excitation irrépressible. J’ai essayé de démêler pour elle et pour moi l’écheveau des sensations conflictuelles que j’avais éprouvées, et j’ai conclu en reconnaissant que le souvenir autant que la persistance de la douleur me faisait encore mouiller, au point de souhaiter une autre séance, plus dure.
— On parle d’ivresse du pouvoir, on ne pense jamais à l’ivresse de la soumission, a-t-elle ri. Je serais heureuse de combler votre vœu car c’est un plaisir de faire souffrir celle qui le désire à ce point. Mais, d’abord ce ne serait pas raisonnable, ensuite ne pouvez pas rentrer chez vous sans être intacte. Prenez maintenant le temps de ...