Moule à beaufres
Datte: 26/07/2019,
Catégories:
f,
ffh,
jeunes,
alliance,
vacances,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
préservati,
pénétratio,
Humour
Auteur: Mirtylle, Source: Revebebe
... ma mère un moment où Pascal et Cyrille sont dans les parages, histoire de les mettre discrètement au courant. Je m’éloigne ensuite en prenant tout mon temps, rassemblant dans un petit sac à dos mon baladeur MP3 et ses écouteurs, mon appareil photo numérique, une bouteille d’eau et quelques biscuits. En tenue légère mais non équivoque – jupette en jean, tee-shirt et tennis blancs – je quitte innocemment la maison en passant par la cour et descends dans le village. Je n’y rencontre cette fois personne, et ce n’est que lorsque j’arrive à l’orée du bois que je sens un frémissement d’impatience me gagner. Un rapide coup d’oeil en arrière m’apprend que je ne suis pas suivie de manière visible, mais ce n’est pas une révélation. Je ne m’attends pas à ce qu’« on » me file le train sans prendre un minimum de précautions.
Une fois à l’abri des regards sous le couvert des arbres, je dépose en vitesse mon sac à dos, le temps de dégrafer mon soutien-gorge et de l’y fourrer, puis je me prépare à me remettre en marche. Ma poitrine nue sous le tee-shirt s’octroie ses libertés, et rien que penser à ce jeu stupide auquel je me livre suffit à m’émoustiller. Pour peu, je me déshabillerais !
Je fais quelques pas en me persuadant d’éviter l’exagération, mais une deuxième envie me démange à laquelle je ne résiste pas. Après un nouveau coup d’œil aux alentours, je glisse les mains sous ma jupe et me débarrasse de ma petite culotte, qui file rejoindre mon soutif dans le sac. Tranquillement, ...
... je descends dans le bois, enjambe le ruisselet et décide de grimper de l’autre côté, où s’amorce un sentier. Mes fesses nues sous la jupette me donnent un sentiment d’indécence, mais un observateur éventuel n’y verrait rien. Je m’immobilise dans la pente, adossée à un arbre comme si je me reposais quelques instants, et j’en profite pour scruter les environs à la recherche d’une présence humaine. Rien. Si quelqu’un m’a suivie, il se montre discret.
Je reprends ma lente progression et parviens à un endroit où s’amorce un second et étroit sentier que je sais se terminer en cul-de-sac dans une petite clairière. Lorsque je débouche dans ladite clairière avec l’intention de m’y installer – les postes d’observation difficilement décelables ne doivent pas manquer aux alentours –, je suis tout à coup surprise d’y trouver quelqu’un !
La femme qui est adossée à un gros rocher, les fesses sur une couverture étalée sur le sol, tourne immédiatement la tête dans ma direction :
— Hello ! me lance-t-elle.
— Heu… hello ! je réponds poliment.
Zut ! Voilà une chose à laquelle je n’avais pas pensé. J’hésite un instant : le sentier se termine là. Si je fais demi-tour, je donne l’impression de m’enfuir. Si je continue tout droit, je m’enfonce dans un sous-bois broussailleux.
— Hello ! fait une seconde voix.
Le type apparaît, de l’autre côté de la grosse pierre. En short, torse nu, teint de brique. L’Anglais ! L’Anglais et sa nana ! Qu’est-ce qu’ils foutent là ? Les paniers et le ...