1. Le souper : fin de soirée arrosée


    Datte: 05/04/2025, Catégories: ff, fff, fplusag, fépilée, fête, fsoumise, fdomine, ffontaine, Masturbation Oral fdanus, sm, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... leur envie de goûter à nouveau votre cul tout leur saoul. Le leur autoriseriez-vous ?
    — J’en serais honorée, Ève, et heureuse de leur être agréable.
    — Vous devrez malheureusement remettre ces plaisirs à plus tard. Il est temps de nous occuper du cas de Jenny.
    
    Séduction et douche froide, encore une fois ! Il fallait s’y habituer, mais le dépit était trop vif pour ne pas s’afficher sur les traits de Colette qu’une consolation sibylline désempara un peu plus.
    
    — Ne vous désolez pas. Si mes vœux s’accomplissent, vous aurez tout loisir d’apprécier la compagnie de mes Sorèles. Sinon, je vous promets une soirée mémorable demain… Ah, Jenny ! Merci de descendre de ton perchoir, poursuivit Ève. Irène m’a fait part de tes exploits et j’ai approuvé les punitions que ta complice et toi avez encourues. Quelle idée t’a prise ?
    — Je voulais juste éclaircir mes cheveux, Ève. Je vous le jure !
    — N’ajoute pas le mensonge à la stupidité, ma belle ! Tu voulais te décolorer et tu as circonvenu Clémence, n’est-ce pas ?
    — …
    — Clémence est trop gentille, c’est son défaut. Elle a été trop indulgente avec toi. Peut-être l’a-t-elle regretté… Mais, à voir la couleur de ta chevelure, elle t’a fourni suffisamment d’eau oxygénée pour que tu décolores également ta touffe, non ?
    — Je… je n’y ai pas pensé.
    — Une faute de goût aussi impardonnable que de prendre une initiative sans mon accord. Que dois-je faire, à ton avis ?
    — Me… me punir… Ève
    — Pour ta désobéissance, c’est déjà fait. Et pour ce ...
    ... gâchis esthétique ?
    — Je… je ne sais pas…
    — Il faut l’effacer, c’est la seule solution ! Tondue et épilée, voilà ce qui t’attend.
    — De… Demain ?
    — Tout de suite ! Mets-toi nue. Irène, enlève-lui son harnais. Gwladys, va nous chercher la tondeuse, s’il te plaît. Aloïse, débarrasse la table. Clémence, libère-nous le fauteuil.
    
    Comme un ballet bien réglé, chacune s’empressa aussitôt à sa tâche assignée. Colette se dit que si, dans les heures qualifiées de moments amicaux, la forme et le ton changeaient, le fond restait tout aussi implacable. Elle aida affectueusement la cuisinière à s’extraire de son siège et la soutint gentiment, heureuse de ne pas devoir la ramener sur le chevalet.
    
    Un bref baiser sur la joue, accompagné d’un « merci Colette » murmuré à l’oreille, lui témoigna la reconnaissance de Clémence qui vacillait malgré tout et s’appuyait lourdement sur son bras. Elles restèrent ainsi côte à côte, attentives toutes deux à obéir aux ordres qui pourraient advenir mais observant la scène d’un regard entendu pour l’une, intrigué et curieux pour l’autre.
    
    Irène finissait de retirer les chaînes qui contraignaient le sexe de Jenny et en extirpait le tampon d’éponge à gratter qui le pénétrait. Gwladys avait déjà remis la tondeuse à Ève, preuve que l’instrument était à disposition dès avant le simulacre de jugement. Aloïse trottinait sans relâche de la table à l’office, retenant d’une main son pansement entre les cuisses. Issa, railleuse, jouait à l’apprentie coiffeuse ...
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