1. Le souper : fin de soirée arrosée


    Datte: 05/04/2025, Catégories: ff, fff, fplusag, fépilée, fête, fsoumise, fdomine, ffontaine, Masturbation Oral fdanus, sm, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... prenait le sexe. Colette avança la main, le premier contact fut douloureux, pour la patiente. Elle retira la main au premier sursaut et se fit morigéner pour sa pusillanimité. Elle frotta donc, de plus en plus vite, de plus en plus fort, ressentant un plaisir insidieux à châtier des chairs déjà malmenées. Le parfum aromatique se développait avec les frictions, agressif et enivrant. Il envahissait le nez de Colette comme il pénétrait le sexe de Clémence. Il rendait moins inquiétantes pour l’une les contorsions spasmodiques de l’autre. Ce n’était pas si difficile, finalement, de traquer les moindres replis de la chatte. C’était même agréable. Les modulations des gémissements guidaient la recherche.
    
    — N’oubliez pas le périnée et l’anus, conseilla Ève qui suivait les progrès du traitement.
    
    Colette ne protesta pas. C’était si évident ! Elle remit du liquide sur ses doigts et massa avec soin la peau fine. Les plaintes étouffées de Clémence montèrent d’un ton. Elle tâta les bords du cratère, un cri bref l’avertit de la sensibilité accrue de l’endroit. Elle n’en tint pas compte, l’antisepsie était bien plus importante à ses yeux. Elle y alla franchement, ne négligeant aucune des multiples branches de l’étoile ni de ses alentours.
    
    Clémence avait renoncé à retenir ses plaintes. Elles résonnaient au gré des attouchements plus ou moins appuyés qui lui enflammaient le rectum. Quelque chose aussi avait changé dans le ventre de Colette, ce n’était plus la peur de faire mal qui le ...
    ... nouait mais l’excitation d’être maître de la douleur de l’autre. Et cette sensation nouvelle la faisait mouiller.
    
    Un surplus de produit traînait au creux des aines, gaspillage inutile. Elle le recueillit du bout de l’index, en considéra l’abondance, en conçu subitement un emploi. Si je le lui fourrai dans le cul ? Elle mit en pratique l’idée, sans réfléchir, jusqu’au fond. Le fourreau lui enserra brusquement le doigt, un cri perçant lui vrilla les oreilles. Elle retrouva la raison, et la honte.
    
    Elle aurait voulu s’excuser de son impulsion, demander pardon à sa victime. Mais les yeux de Clémence ne reflétaient ni reproche ni désespoir, ils brillaient de reconnaissance et presque de bonheur. Si son corps frissonnait, si ses mains tremblaient, si sa chatte palpitait, c’était moins de souffrance que de frustration. Se retenir de se caresser lui coûtait plus que de supporter la douleur.
    
    Pour Colette, c’était une révélation. Les sensations qu’elle éprouvait allaient bien au-delà des quelques expériences de SM léger qu’elle avait connues jusqu’alors. Un lien étrange l’avait unie à Clémence dans une relation désirée et consentie par chacune. Que ce soit pour torturer et être torturée, ou pour gougnotter et être gougnottée, la communion était la même, aussi forte et troublante. Elle baisa tendrement la vulve flétrie, brûlante et odorante.
    
    — Quelle émotion ! Vous en fondez, ma chère, ricana Ève. Vous coulez d’ailleurs très à propos. Irène et Gwladys me confiaient à l’instant ...
«12...789...15»