1. Le souper : fin de soirée arrosée


    Datte: 05/04/2025, Catégories: ff, fff, fplusag, fépilée, fête, fsoumise, fdomine, ffontaine, Masturbation Oral fdanus, sm, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Une petite heure de marche nous a ramenées chez Colette. Elle est infatigable ! J’ai galopé derrière elle tout le chemin, en remerciant le ciel que ce ne soit qu’en descente. Parlons-en, au fait, du ciel : les nuages l’avaient déjà envahi avant notre arrivée et l’air s’était fortement rafraîchi. Je me suis précipitée sur la première chaise venue pour reposer mes jambes et mes petons en réchauffant mon pauvre corps sous l’œil faussement compatissant de mon hôtesse.
    
    — Ma pauvre Chantal ! Vous êtes épuisée et en nage. Quittez vos vêtements, je les mettrai à laver. Et allez vite prendre une douche chaude.
    — Vous ne la prenez pas avec moi ?
    — Je nous prépare une bricole à manger. Mais dites-moi, ça fait deux fois que vous me le proposer. Je vais croire que vous me faites des avances !
    
    Oups ! J’ai ri pour masquer ma confusion, et j’ai filé, à poil bien sûr, dans la salle de bain. J’ai bien dû reconnaître que j’étais un peu désappointée de m’y trouver seule. J’aime beaucoup, ou trop, la compagnie de Colette, dirait-on !
    
    Le repas, agréablement simple après les agapes de midi, rapidement expédié, nous nous retrouvons dans son petit salon. Colette fouille dans un secrétaire pour me procurer un cahier plus approprié à la prise de notes que les diverses feuilles volantes que j’ai utilisées jusqu’ici. Confortablement enroulée dans l’épaisse serviette de bain que je n’ai pas quittée depuis ma douche, je commence à transcrire au propre mes ...
    ... gribouillis pendant qu’elle prend la sienne.
    
    Elle en revient dix minutes après, drapée dans un peignoir d’éponge. Je n’ai pas beaucoup avancé ma copie. Tant pis, je terminerai dans mon lit. Elle repousse mes velléités de faire la vaisselle – j’aurais pu y penser plus tôt, c’est vrai – et s’installe près de moi sur l’étroit canapé.
    
    — Alors, vous arrivez à vous retrouver dans tout ce que je vous raconte, s’enquiert-elle en passant son bras sur mon épaule.
    
    Son peignoir s’est ouvert dans le mouvement, découvrant à moitié poitrine et ventre. Elle n’y attache pas d’importance, moi non plus. Je lui montre mes premières lignes. Elle se penche pour les lire. Nous sommes un peu plus proches.
    
    — Mettre en ordre des souvenirs jetés plus ou moins à la volée, n’est pas simple. Vous vous en sortez bien, me complimente t’elle en caressant négligemment ma nuque.
    — Merci, dis-je en me serrant à son côté. Vous voulez bien continuer l’histoire de ce souper ?
    
    Un méchant vent souffle dehors. Le salon nous entoure d’un cocon tiède. Le corps de Colette est doux et chaud… C’est beau, l’amitié !
    
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    Colette se voyait comme une poule qui a trouvé un couteau, avec dans sa paume cette petite masse tiède et humide, ce cadenas que Ève venait de retirer du sexe d’Aloïse.
    
    Elle regardait la main délicate de la première qui masturbait vigoureusement la fente que lui offrait la jeune fille. Ce charmant tableau d’une Aloïse énamourée, ventre en avant et mains crispées ...
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