1. Le souper : fin de soirée arrosée


    Datte: 05/04/2025, Catégories: ff, fff, fplusag, fépilée, fête, fsoumise, fdomine, ffontaine, Masturbation Oral fdanus, sm, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... tuméfiée. De vilaines plaques pourpres signalaient les parties des grandes lèvres longuement comprimées. Le périnée et l’anus n’étaient guère plus épargnés et les boucles grises de la touffe pubienne clairsemée luisaient de transpiration.
    
    Colette passa une langue précautionneuse sur les lèvres gonflées. Elles étaient chaudes, fiévreuses, d’une saveur salée et acre. Elle se risqua sur le périnée et explora l’anus, le bouquet s’enrichit de touches de musc. Elle refit un passage de bas en haut, d’une langue toujours douce mais plus rapide et plus franche. La vulve lui sembla moins brûlante et plus souple. Elle réitéra plusieurs fois sa caresse. La crispation du pelvis s’atténuait peu à peu et un arôme nouveau se mêlait aux premiers relents. Un soupir d’aise lui parvint distinctement.
    
    Enhardie, troublée aussi, Colette posa les doigts sur les bords de la fente, évitant les festons violacés qui en dépassaient et qu’elle n’avait pas encore osé effleurer. Délicatement, selon les recommandations de Ève qui suivait ses progrès, elle ouvrit le sexe pour révéler les nymphes et une dure pression sur l’épaule l’invita à continuer. L’entaille s’ouvrit largement, dévoilant le corail d’une muqueuse tapissée de sécrétions vaginales et dont l’organe le plus sensible pointait triomphalement hors de sa fragile protection.
    
    Le cliquettement de l’appareil photo se répétait derrière Colette, mais la fascination le lui faisait oublier. Quelle importance que l’image de sa moule poisseuse ...
    ... quand elle avait sous les yeux celle d’une malmenée exultante ! Elle rassembla toute sa salive pour adoucir autant qu’elle pouvait le contact de sa langue avec les chairs tourmentées. Des saveurs plus fortes et plus sauvages emplissaient sa bouche. Elles stimulaient ses papilles, rendant plus abondant, plus onctueux, l’onguent naturel qu’elle s’appliquait à étaler sur la vulve. Le remède la calmait, la respiration apaisée de sa patiente le lui disait.
    
    Elle poursuivit ses soins, s’abstenant de téter ou de sucer pour ne pas raviver la douleur. Elle léchait, inlassablement, par petites touches, par légers passages, ne faisant qu’effleurer de sa langue les endroits trop douloureux que la contraction soudaine des muscles lui indiquait. Elle n’y revenait qu’avec une application accrue de sa crème liquide pour éteindre le feu renaissant. Il y eut bientôt une composante nouvelle dans le baume qu’elle concoctait, un fluide sexuel qui répondait à la mouille de sa propre chatte. Elle avait jusque-là évité le bouton pour ne pas en exacerber la sévère affliction. Elle jugea approprié à présent de le toucher, oh, d’un tendre frôlement, du bout des lèvres, d’une douce pointe… Ce fut suffisant.
    
    Le bref jappement, à mi-chemin entre douleur et plaisir, inquiéta Colette. Elle se recula. Les deux brèves giclées qu’elle reçue sur le visage la surprirent. Les supplications enrouées de continuer la flattèrent. Elle baisa le clitoris, le cajola plus fermement, le becqueta, le suçota, oublieuse de ...
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